Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

 à relire dans la rubrique RECITS FICTIONS FANTASMES  (40)  

 

L'apprentissage d'André.

Quand nous étions enfants, on respectait les adultes et en particulier, nos parents. Nous n'étions pas plus malheureux que maintenant où les jeunes ne connaissent plus l'obéissance, faute de l'apprendre! L'obéissance est la base de la discipline, sans laquelle, rien ne fonctionne. Tout ceci pour dire qu'aujourd'hui, le fait de donner une bonne fessée à un enfant qui l'a méritée est presque un scandale! Cela remet pourtant les idées en place et permet de se situer.

Enfin, si je vous parle de cela, c'est pour vous raconter la magistrale fessée dont je me souviens encore et que j'avais reçu étant apprenti. Cela ne m'empêcha pas de grandir et de découvrir mon monde d'adolescent.

Vers 15 ans et demi, j'étais déjà bien formé pour mon âge, pratiquant volontiers plusieurs activités sportives, mon corps musclé suscitait l'envie ou la jalousie des mes copains. J'excellais particulièrement en gymnastique.  Mon corps se transformait, je remarquais, une pilosité nouvelle sur mon bas ventre, un peu autour de mon sexe et sur les jambes. Je me souviens même avoir pris un miroir de poche à la salle de bain, un soir, pour voir si j'en avais autour du trou du cul!   

Encore peu au courant des choses de la chair, je n'avais pas encore eu de relations sexuelles - avec qui l'aurais-je fait? Je savais néanmoins une ou deux choses de par les discussions avec les copains. Bien sûr, il y avait beaucoup de vantardise, mais enfin l'on disait que si on avait du poil au cul, on était un homme! Je commençais donc à en être un!

Les filles ne me branchaient pas vraiment. Mon univers tournait surtout de bons copains, des camardes de jeux. Bien que quelquefois nous eussions comparé nos anatomies à la douche, après le sport, je n'avais pas vraiment cherché à en savoir d'avantage. Bien sûr, je savais comment l'on faisait des enfants, mais c'était assez flou dans ma tête sur le détail que je ne visualisais pas. Habitant la campagne, j'avais déjà vu le taureau grimper sur une vache! Mais c'était la nature... Et l'immense pine du cheval me laissait songeur...

Avec la nouvelle année scolaire j'eus un nouveau patron qui avait remplacé le précédent parti à la retraite. Tout jeune homme, il me semblait à peine plus âgé que moi! Il avait 23 ans et venait de confirmer son professionnalisme. Pas très grand, blond, les cheveux bouclés, il émanait de lui une gentillesse, une douceur renforcée par une voix calme et onctueuse. L'on aurait dit un garçon qui n'avait pas encore mué! Son regard était comme des lacs de montagne: d'un bleu dans lequel on pourrait se noyer et que l'on ne pouvait fuir. Au début, on a chahuté et on ne prenait pas les choses au sérieux ! Mais avec son calme, il ensorcelait et savait se faire respecter.

Pour la première fois de ma vie, je me sentais subjugué par quelqu'un, mieux encore émoustillé ! Quand il me fixait, je ne pouvais que baisser les yeux et je tremblais à l'intérieur. Mon coeur se mettait à battre plus vite et je sentais des frissons dans les reins... Rien que pour lui plaire, j'ai fait de notables progrès et je me faisais apprécier de lui et de nos clients. 

Un jour, pourtant, sans savoir pourquoi, j'ai commencer à déranger ce beau maître, à le contrarier, voire même à lui manquer de respect! Alors que tout allait bien! Probablement que je recherchais son attention? De plus en plus souvent, je le fixais avec défi et insolence! Et c'est lui qui passait à autre chose, me quittant du regard. Dans ces moments-là, je me sentais fort, une nouvelle sensation naissait en moi et en plus des picotements, je sentais ma verge bouger dans mon slip de coton si peu sexy quand j'y pense !  On était en été et je portais des culottes courtes de velours côtelé, laissant ainsi mes jambes nues. Il en était de même pour tous les garçons, à l'époque et je regrette souvent cette mode aujourd'hui, quand je vois les jeunes dans leurs survêts trop vastes dans lesquels l'on a toujours l'impression qu'il ont fait leurs besoins!!

Mon anatomie adolescente était donc offerte à l'admiration  des chaussettes jusqu'aux cuisses. 

Ce jour-là, mon insolence alla trop loin et après plusieurs avertissements, le patron me signifia que j'aurais à rester après l'heure pour balayer et ranger tout l'atelier.  Cette punition était d'ailleurs presque un plaisir...

Pendant qu'il travaillait aux factures dans son bureau, je plaçais les outils et les tabourets sur les établis et et soudains j'en laissai tomber un avec fracas!

— Patatras!

— Fais- donc attention! Tu  tu es un vrai diable aujourd'hui!

— Le diable vous emmerde  ! ai-je rétorqué.

— Insolent! Toi qui es si gentil d'habitude, pourquoi es-tu aussi agressif?

— P'têtre ben que j'ai envie de vous emm..nuyer!

— Cette fois c'en est trop, viens ici immédiatement!

Le sourire aux lèvres, je suis venu vers lui en me dandinant, ce qui a fini de l'exaspérer.

— Tu cherches vraiment une fessée, André eh bien tu vas l'avoir!

Il a reculé sa chaise, m'a empoigné par les cheveux, s'est rassis et m'a obligé à me pencher en avant avec une poigne insoupçonnée, en travers sur ses genoux. Bien que je me laissais faire, je sentis bien que si j'avais voulu me débattre, je n'aurais pas gagné. Sa main gauche sur ma nuque, il commença à me fesser avec la droite!  

Vlan! Vlan! Vlan! Vlan! reflectionsfromaretreat: Yep, spank the bitch until he squeals for you to stop then grab his balls and squeeze them until he begs to be spanked again instead, do that cycle several times over then pass him round your friends for fucking…

Un et deux, trois, quatre et ça continuait. Il ne faisait pas semblant et malgré la culotte les fesses me faisaient mal!

— Aie, aie! Ça fait mal!

J'en avais le rouge aux joues de honte et aussi quelques larmes dans les yeux, mais en même temps, il me semblait bien que l'ayant recherché, j'en retirais du plaisir! Impossible à décrire, ce n'était pas un plaisir physique, mais l'aboutissement logique de mon désir.

— Tu fais moins le mariole, hein!

— C'est vrai, M'sieur, arrêtez, je m'excuse.

— Tu fais bien de t'excuser et à mon tour, je regrette de t'avoir frappé, mais tu l'as bien cherché!

Sa main ne frappait plus, mais restait sur mes fesses endolories, et commençait même à les caresser. Très vite, je sentis mon sexe gonfler dans ma culotte et le sang battre mes tempes. J'ai un peu écarté les jambes et je sentais ses cuisses contre ma verge dure.

— Je t'ai frappé un peu fort, est-ce que tu as mal?

— Ça me brûle un peu.

— Viens avec moi au bureau on va arranger ça.

— Ce n'est pas la peine...

— Allez viens!

Je me relevai et je l'ai suivi. Il a éteint la lumière et fermé la porte   À cette heure làon n'attendait aucun client. Il a ouvert la porte et allumé et je suis entré dans cette petite salle et il a ouvert l'armoireà pharmacie qui sentait l'embrocation et les médicaments. Au centre, il y avait une table . Il y avait encore au fond, un lavabo en faïence blanche et ébréchée.

Le patron, qui s'appelait Jean, ferma la porte à clé en disant:

— On va voir ce derrière endolori! Baisse ta culotte et étends-toi à plat ventre sur la table .

Je dois reconnaître qu'à ce moment-là, je tremblais un peu et j'obéis en devinant qu'il allait se passer quelque chose, mais sans bien deviner quoi? Je déboutonnais ma culotte de velours à la braguette, ouvris ma ceinture et la laissais tomber sur mes chaussettes. Mon sexe encore en peu gonflé faisait une bosse qui me gênait. Le coton blanc était ouvert sur le côté et béait un peu. Je m'étendis sur le lit, les bras repliés sous ma tête, les jambes un peu écartées. Le maître ouvrait et refermait les petits tiroirs de la pharmacie.

— Où donc est cette crème? Ha! Voilà du gel, ce qu'il me faut!

Un sourd désir me travaillait et tendait à nouveau ma verge qui se mouillait du bout. Le maître revint vers moi:

— Et bien tu ne crois pas que je vais masser tes fesses à travers ton caleçon!

Il tira sur l'élastique et descendit le caleçon sur mes genoux. La verge tendue le retenait un peu et je l'aidai de ma main droite.

— Oh! C'est vrai qu'elles sont bien rouges ces fesses-là!  Eh bien attention c'est froid!

Il mit du gel abondamment sur mes fesses et commença à les masser.

— Ce n'est pas trop froid?

— Non ça va bien. Et j'ajoutais par réflexe: C'est bon!

Ses mains, avec douceur me massaient régulièrement et une tendre douceur m'envahit. Mieux je commençais vraiment à chauffer et un sentiment nouveau s'emparait de moi: le désir et le plaisir. Ses mains passaient de plus en plus sur mes fesses et repassaient et caressaient et je gémissais:

— C'est bon!

La douleur avait totalement disparu, mais je me tortillais de plaisir, ma verge mouillait mon ventre et je me tenais à deux mains à la table. Maintenant, Jean me massait des pouces vers l'intérieur des cuisses, me touchant, me caressant les bourses à chaque passage en me faisant me pâmer encore plus.

— Haaa!    Sexy Young Boy Butts smmoth ass  

       

Cette fois mes fesses dures et tendues n'étaient plus que désir et soudain, je sentis un changement : il avait bougé et sa langue (je ne le compris pas immédiatement) me léchait le périnée, les couilles, allant de l'un à l'autre, mouillant, la pointe forçant aussi mon oeil de bronze. Maintenant je l'appelle comme ça, à l'époque c'était mon trou du cul! C'est moins joli!

J'écartais de plus en plus les jambes, je ne me sentais plus et soudain, ma queue lâcha un peu de sperme, comme quand je me branlais dans mon lit! Est-ce qu'on peut jouir ainsi? Comme c'était contre mon ventre, je ne pouvais vérifier, mais je le sentis bien. De plus en plus cette langue me fouillait et il me mordillait même sur les cuisses en m'arrachant des cris de bonheur!

Soudain, je sentis un doigt me pénétrer, je ne fus pas surpris, inconsciemment je le désirais et voilà encore un nouveau plaisir que j'apprenais. Il me tira par les jambes au bout de la table, me fis mettre à quatre pattes. Je savais cette fois ce qu'il allait m'arriver, mais parfaitement détendu, je me laissais faire. Ma queue toujours raide pointait en avant en dégoulinant.

Je sentis à peine quand il me pénétra, puis il s'anima avec force et je dégustais totalement. Sa bite qui me fouillait l'intérieur, qui poussait contre ma prostate, encore une chose que j'ai apprise, ses coups contre mes fesses, ses couilles touchant les miennes, son sexe, tout me procura un immense plaisir et sa main agitait ma verge en même temps. Il jouit en moi avec un grand cri dans la même seconde ou j'ai giclé jusqu'au bout de la table!

Maintenant que je repense à tout cela, mon corps est parfaitement détendu. Couché sur le dos, j'ai la tête de Jean sur mon coude droit, son corps contre le mien, respirant au même rythme. Nous venons de faire l'amour et je suis heureux. Pleinement! Heureux d'aimer, Jean devenu mon amant et mon compagnon depuis plus de 15 ans et c'est tous les jours la fête! Du sexe!

image of gay web video André 2013

 

Mer 5 jun 2013 Aucun commentaire