Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
retrouvez cet article dans CULTURE GAY( 24)
donc rien de "dégueulasse" juste du porn
Lettre de Verlaine à Rimbaud en vers
c'est en 1872, il faut voir combien le langage d'alors est déjà celui d'aujourd'hui.
Replaçons ce poème en pleine guerre et convenons ensemble qu'en
des temps aussi troublés, le lit, l'amour, sont les seuls vrais bonheurs
que l'on peut se donner. Le texte porno (bien écrit) prime sur l'image quelle qu'elle soit !
Si vous avez des souvenirs de ce genre, ils seront postés à l'intention des 500 visiteurs quotidiens du groupe si vous les adressez à
claudemodou@gmx.com
Même quand tu ne bandes pas,
Ta queue encor fait mes délices
Qui pend, blanc d'or entre tes cuisses,
Sur tes roustons, sombres appas.
- Couilles de mon amant, sœurs fières
A la riche peau de chagrin
D'un brun et rose et purpurin,
Couilles farceuses et guerrières,
Et dont la gauche balle un peu,
Tout petit peu plus que l'autre
D'un air roublard et bon apôtre
A quelles donc fins, nom de Dieu?-
Elle est dodue, ta quéquette
Et velouté, du pubis
Au prépuce fermant le pis,
Aux trois quarts d'une rose crête.
Elle se renfle un brin au bout
Et dessine sous la peau douce
Le gland gros comme un demi-pouce
Montrant ses lèvres justes au bout
Après que je l'aurai baisée
En tout amour reconnaissant,
Laisse ma main la caressant,
La saisir d'une prise osée,
Pour soudain la décalotter,
En sorte que, violet tendre,
Le gland joyeux, sans plus attendre,
Splendidement vient éclater;
Et puis elle, en bonne bougresse
Accélère le mouvement
Et Jean-nu-tête en un moment
De se remettre à la redresse.
Tu bandes! c'est ce que voulaient
Ma bouche et mon cul! choisis, maître,
Une simple douce, peut-être?
C'est ce que mes dix doigts voulaient.
Cependant le vit, mon idole,
Tend pour le rite et pour le cul -(>)
Te, à mes mains, ma bouche et mon cul
Sa forme adorable d'idole. Paul ------------------------------------------------------- illustrations "strophe après strophe" Verlaine la décrit plus "grasse" et lisse. Blanche aussi et non circoncise. Comme ça ? Constatons ensemble que l'émotion ressentie par nous et nos amants, à plus forte raison par Paul et Arthur à l'époque, n'est pas présente dans les photos ci-dessus. Le poème lui, oui, transmet bien l'émotion. >
Ta queue encor fait mes délices
Qui pend, blanc d'or entre tes cuisses,
Sur tes roustons, sombres appas.
- Couilles de mon amant, sœurs fières
A la riche peau de chagrin
D'un brun et rose et purpurin,
Couilles farceuses et guerrières,
Et dont la gauche balle un peu,
Tout petit peu plus que l'autre
D'un air roublard et bon apôtre
A quelles donc fins, nom de Dieu?-
Elle est dodue, ta quéquette
Et velouté, du pubis
Au prépuce fermant le pis,
Aux trois quarts d'une rose crête.
Elle se renfle un brin au bout
Et dessine sous la peau douce
Le gland gros comme un demi-pouce
Montrant ses lèvres justes au bout
Après que je l'aurai baisée
En tout amour reconnaissant,
Laisse ma main la caressant,
La saisir d'une prise osée,
Pour soudain la décalotter,
En sorte que, violet tendre,
Le gland joyeux, sans plus attendre,
Splendidement vient éclater;
Et puis elle, en bonne bougresse
Accélère le mouvement
Et Jean-nu-tête en un moment
De se remettre à la redresse.
Tu bandes! c'est ce que voulaient
Ma bouche et mon cul! choisis, maître,
Une simple douce, peut-être?
C'est ce que mes dix doigts voulaient.
Cependant le vit, mon idole,
Tend pour le rite et pour le cul -(>)
Te, à mes mains, ma bouche et mon cul
Sa forme adorable d'idole. Paul ------------------------------------------------------- illustrations "strophe après strophe" Verlaine la décrit plus "grasse" et lisse. Blanche aussi et non circoncise. Comme ça ? Constatons ensemble que l'émotion ressentie par nous et nos amants, à plus forte raison par Paul et Arthur à l'époque, n'est pas présente dans les photos ci-dessus. Le poème lui, oui, transmet bien l'émotion. >
Sam 1 jun 2013
Aucun commentaire