Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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"Je lui ai dit de retirer sa capote et de gicler en lui"
C’est lundi, il fait gris, tout est morose. Tous en costumes et toutes en tailleur... Si mes collègues et ma famille savaient. Le samedi j’enlève mon masque facial de travailleur et de père clean et sage. J’apparais sous ma forme naturelle, une bête de sexe. Je laisse agir le démon qui est en moi et qui me pousse à aller toujours plus loin.
Ce samedi j’ai dit à ma femme que j’avais un dîner avec des vieux amis que j’avais pas vus depuis des années. Je suis sorti seul sans elle, tout en sachant d’ailleurs qu’elle en profiterait certainement pour aller faire un tour aussi de son côté. J’avais rendez vous dans un club très hot avec... un jeune collègue, nouveau dans la boîte où je travaille, une chance d’acquérir de l’expérience. Il a à peine 18 ans et il sera cadre ou patron un jour.
À force de discuter avec lui, il m’avait presque convaincu des soupçons que j’avais à son sujet sur le fait qu’il était homosexuel. Quand je lui ai avoué ma bisexualité, il ne m’a pas semblé choqué, ni même apeuré. Il a simplement souri. Je réussis à le convaincre de venir voir ce qu’il se passe dans ce genre d’endroit, en faisant bien sur croire que je n’avais jamais mis les pieds. Je suis passé le chercher chez lui.
Il était très beau, châtain, les cheveux mi-longs, pas très mince mais pas fort non plus, juste ce qu’il faut pour qu’il m’excite à point. Il était très sexy dans son pantalon style armée et sa chemise ouverte. Nous sommes allés dîner, nos regards étaient de braise. Les allusions permanentes, puis ensuite nous nous sommes rendus dans cette boîte.
Sur le chemin je l’ai embrassé plusieurs fois. Ni mes 40 ans, ni le fait que je sois marié ne semblaient le déranger. À travers ses vêtements je sentais son corps tendu de désir et ses mamelons dressés. La boîte était très sombre, l’ambiance électrique. J’ai sorti des menottes et j’ai attaché mon compagnon du soir à mon poignet. Il m’a regardé d’un air amusé en me disant:
— Tu as peur qu’on me viole?
Je lui ai juste dit en le serrant:
— J’ai juste peur que tu prennes la fuite.
Nous sommes entrés boire un verre puis je l’ai emmené à l’étage inférieur. Au bas de l’escalier face à un miroir, appuyé sur une barre fixe, un jeune blond se faisait pénétrer en levrette par un homme musclé. Le jeune était nu comme un ver et l’homme entièrement habillé. Nous sommes restés à côté d’eux, un long moment à contempler la scène. Je sentais mon compagnon à la fois gêné et excité. Le blond avait le cul très ouvert, dès que la queue ressortait de son fourreau trempé on apercevait un sexe gigantesque et un trou béant. L’homme éjacula ensuite dans le jeune qui hurlait de plaisir.
Je dis à mon compagnon:
— Tu le trouves beau? Il t’excite?
Il me dit que jamais il ne se laisserait prendre comme ça par un inconnu. Le blond se retourna et lécha le sexe du mec une dernière fois, il nettoya bien son gland en nous fixant du regard, puis il vint vers moi. Ses traits m’apparurent plus précisément très beaux. Il approcha encore et posa sa bouche contre la mienne. Nos langues se mêlèrent et le sperme recueilli par son nettoyage se mélangea à ma salive. Mon compagnon me regarda d’un air dégoûté.
— C’est dégueulasse! Il vient de sucer une queue d’un inconnu pleine de sperme et tu lui roules un patin? T’es malade.
Il essaya de partir mais les menottes l’en empêchèrent. Je l’ai plaqué contre le mur et l’ai embrassé à mon tour. Il essaya de se débattre pour la forme car au bout de quelques secondes je sentais sa bouche aspirer ma langue et ce fougueux baiser dura plusieurs minutes. Il m’a regardé dans les yeux en me disant:
— J’adore ça, le goût du sperme sur ta langue après avoir vu tout ça, c’est dingue, je deviens fou!
J’ai glissé ma main dans son pantalon et touché son sexe. Il était très dur. Je lui retirai tous ses vêtements et le laissai juste en slip. Je l’entraînai ensuite dans une autre salle où des couples, hétéros et gays, faisaient l’amour chacun de leur côté. Je me suis mis à embrasser mon compagnon devant ce spectacle. Je caressais ses fesses, finalement plus conséquentes que ce à quoi je m’attendais.
J’étais assis derrière lui. Il penchait la tête pour m’embrasser pendant que ma main caressait son anus humide et bien ouvert déjà.
Un mec qui passait par là fut ravi que je l’appelle:
— Viens, mon ami va sucer ta queue.
— T’es fou, je ne sucerai pas la queue de cet inconnu.
— T’es tellement trempé que tu ne peux pas te permettre de refuser d’assouvir tes délires non?
Il a pris le membre dans sa bouche délicatement puis s’est transformé en quelques minutes en véritable chienne. Le gland entrait dans sa bouche comme dans un aspirateur. Il salivait tellement qu’il avait de la bave partout sur le menton et sur le torse que je massais avec plaisir, la queue raide. Il suça le mec pendant 5mn, puis vint m’embrasser.
— Tu m’excites, quand je pense que je viens de le sucer et tu m’embrasses comme ça, sans retenue!
Il s’est ensuite mis à 4 pattes et le mec a commencé à le prendre en levrette.
Bien sûr, en même temps,il s’est mis à me sucer. Il y avait quelque chose entre nous c’était sûr. Le mec le bourrait vraiment très fort. Ses fesses ondulaient en une vague de plaisir. Je voyais sa langue sur mon gland, quel mec, sa salive était brûlante ! Le gars n’en pouvait plus c’était sûr, je l’ai regardé et lui ai dit de retirer sa capote et de gicler en lui.
— Non, non, dit-il.
— Vas-y, fous lui la dose!
Le mec explosa dans son ventre immédiatement. Il sortit sa queue pour balancer ses dernières giclées sur son dos...
— Casse-toi, lui dis-je.
Je vins derrière lui à mon tour. Je l’allongeai sur le dos. Son cul était ouvert en grand et j’y glissai 3 doigts. Je sentais le sperme couler de son anus. Alors je me suis mis à genoux et j’ai passé ma langue dans son trou, j’aspirais sa chair, nettoyais son cul.
Puis je me suis collé à lui et j’ai léché ses mamelons. Il gueulait:
— Mets-la-moi vite, prends-moi, baise-moi...
J’ai mis ma queue en lui, lentement, doucement. Je lui disais que grâce au sperme de l’autre mec, son anus était béant, glissant, brûlant. Mon gland entrait en lui comme si des dizaines de mecs l’avait pris. Il m’embrassait entre deux paroles... Il haletait. Il me disait qu’il n’en pouvait plus. Je me suis allongé sur le dos et il était assis sur ma queue. Des couples nous regardaient en se caressant.
J’ai retiré ma queue de lui tout en restant dans la même position. Il m’embrassait mais en lui un autre mec était venu mettre sa queue. Deux mecs sont venus jouir en lui dans cette pose tour à tour. Puis il a repris ma queue dans son cul. Il criait:
— Fais-moi jouir toi maintenant, je suis plein de foutre, alors vas-y, crache ton sperme en moi, jouis, prends-moi comme une salope.
Ses paroles et le sperme en lui qui coulait le long de mon gland nous ont fait jouir rapidement. Nous sommes ensuite restés quelques minutes hébétés, repus de sexe. Nous sommes ensuite partis.
Je l’ai raccompagné chez lui, où il m’a fait nettoyer son corps de fond en comble avec ma langue. On a baisé encore plus fort. Voilà c'était son passage et son initiation, la vie gay s'ouvrait devant lui.
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