Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Carrément j'aurais préféré qu'ils ne me disent pas leur lien de parenté avant de me baiserchacun à son tour. J'ai déjà rencontré un père et un fils sur une des dragues d'Avignon. Il me reste une impression de gêne de cette complicité assez rare entre père et fils...Le fils qui ne devait pas en être à son premier trio en compagnie de son papa et actifs ts les 2, assumait parfaitement, alors que j'étais plus embarrassé que lui.. Eh ben, même si ce récit qui veut passer pour vrai est une fiction (?) CA EXISTE je confirme.
Le scénario ? ben Miclel Houellebecque dans "extension du domaine de la lutte" guette les homos parisiens de sa fenêtre. Est-il jamais descendu comme ici le gars ? il ne le dit pas !
Par ailleurs, si j'ai toujours rêvé avoir au moins une chambre sinon une maison à proximité d'une drague d'ici, j'y ai toujours renonce, pour des raisons de liberté : accueillir des inconnus chez-soi comporte d'abord le risque qu'ils reviennent sans être sollicités lol. Mais habiter incognito à côté d'une drague, hummmh .
Il n'y a pas que des inconvénients d'habiter près d'une autoroute. Ma ville est faite de telle façon que mon immeuble (plus de 20 étages) a été construit tout près de l'autoroute. Heureusement les appartements sont bien isolés et on n'entend aucun bruit de l'extérieur.
Bien sûr la vue n'est pas fantastique... Pourtant le panoramique obtenu de mon appart m'a permis de faire de nombreuses rencontres insolites. En effet, l'HLM est située juste à côté d'un aire de repos et cet endroit est connu pour être un lieu de drague et de baises rapides. La fenêtre de ma chambre au troisième étage donne juste sur les toilettes de cette aire, là où les couples se forment. Je me masturbe souvent en regardant les messieurs plus ou moins jeunes partir sous les bois bordant l'autoroute pour faire leur affaire et revenir une demie heure après.
Un jour, j'ai vu un mec (d'environ 40-50) et un ado (beaucoup plus jeune, peut-être son fils) sortir d'une Twingo. L'ado conduisait. Ils s'étaient dirigés vers les chiottes et semblaient attendre quelque chose ou quelqu'un.
"Quelle occase!!!" Je ne voulais pas rater ça. Je m'habillai très vite (je suis toujours à poil dans mon appart) puis descendais jusque dans l'aire pour tester ce couple pour le moins mystérieux. Arrivé dans les toilettes, un peu fatigué d'avoir couru, je vis le père et le jeune se laver les mains. Je m'installe près de l'urinoir, sors ma bite et pisse en sifflotant et en lisant les graffiti sur les murs. Souvent, les rdv y sont écrits...
Je me secoue le sexe pour enlever les dernières gouttes et me retourne, la bite toujours à l'air pour la remettre dans mon pantalon. Bien sûr, le mec a tout vu; il me sourit. Je passe devant lui, frôle ses fesses et sors vers les bois...
"Bien joué" pensai-je dans ma tête, car ils me suivent. Je passe devant la Twingo et je remarque l'autocollant "Conduite accompagnée" à l'arrière du véhicule. C'est bien ce que je pensais: son fils doit avoir tout juste 18 ans. C'est le genre chérubin, blond, yeux bleus, à mon avis imberbe et plein de foutre. Son père est blond lui aussi avec une petite moustache et un ventre un peu ballonné mais pas trop. Moi, j'ai 27 ans, paraissant 20-25, je suis brun, mat et j'ai un appétit sexuel d'enfer...
Après quelques mètres dans les bois, je m'arrête et les attends. Ils arrivent, je bande déjà comme un fou.
— Salut, me dit le père.
Je réponds:
— Salut! Vous voulez passer du bon temps, vous pouvez faire de moi ce que vous voulez.
— OK, me dit le père. Déshabille-toi et mon fils va t'enculer pendant que tu me suces.
Je suis excité comme un fou, je déchire quasiment mes fringues, mon Calvin Klein est vite retiré et me voilà à poil, prêt à m'offrir à ces deux inconnus. Le père ouvre sa braguette et sort son pieu, le gamin fait de même. Pas le temps de se déshabiller, ça va être du rapide. Les deux sexes sont devant moi, un peu mous. Le gamin semble un peu honteux. Le père lui dit:
— Tu verras ça se passera bien et puis si t'as un problème, on arrête.
Il doit être puceau, je bande encore plus... Je m'approche d'eux et empoigne leurs sexes en même temps et je les avale goulûment. Je les sens se gonfler. Le fils a une bite quasi aussi grosse que son père. Du gros calibre, 20cm. Ma bouche est écartée au maximum et mon cul va bientôt l'être. Je me masse l'anus pour ne pas être trop sec pendant l'enculade. Voilà. Les deux bonnes bites que je suce maintenant chacun leur tour ont atteint leur taille de travail. Ils sont prêts. Je tends alors mon cul au petit jeune qui se met une capote verte sur la queue. Pendant ce temps, je léchouille le gland de son père. Je sens le gamin toucher de ses doigts froids mon cul. Il cherche le trou pour y mettre son dard.
— Attends, je vais t'aider, lui dis-je.
Je prends sa bite puis le place près de mon trou. Je prends ensuite ses hanches et le pousse dans mon cul. Ouahhhh, il y va fort le gars, dès qu'il a trouvé l'ouverture, il est entré sans s'arrêter. Puissant, le petit mais il faudra qu'il apprenne à se retenir. Maintenant, il est bien dedans, il entre et sort sur un bon rythme et me force, à chaque fois, à avaler un peu plus l'engin de son père. Ah, sacré famille. Le père encourage son fils:
— Tu vois que c'est bon, je te l'avais dis, en plus ce mec est une sacrée salope, il a l'air de te pomper le dard comme un pro.
— Oui, Papa, c'est vraiment bon, dit le gamin d'une voix à peine muée. Je vais bientôt jouir dans son cul.
Pour sûr, il me matraquait le fion. Je le sentais accélérer le rythme, ses couilles douces et à peine poilues touchaient mes fesses. J'étais aux anges, mais je ne pouvais rien dire à cause du gros sucre d'orge que je suçais. Ils éjaculèrent en même temps en hurlant de plaisir. J'avalais la semence du père puis après avoir enlevé la capote du petit, je suçotais son sexe. Autour de nous, quelques mecs finissaient de se masturber et de se sucer. Je crois que le spectacle était beau. Mes deux amants d'une demie heure partirent dans leur Twingo pendant que moi je me rhabillais.