Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
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Il est 2h du matin, je suis assis côté passager de la voiture, la tête baissée, regardant mon jogging à l’origine blanc et mes baskets bleues. Que va-t-il me faire pour se venger ? A-t-il vraiment été humilié ? Il va me le faire payer, c’est absolument certain ! Ça me fait bander rien que d’y penser mais j’ai peur de ce qu’il pourrait me faire faire et m'infliger. Il n’aime pas lorsque je n’arrive pas à faire faire ce qu’il m’ordonne... Putain il a l’air trop fâché ! L’atmosphère est lourde, il ne sourit pas. Je sais que je vais prendre cher ! Comble de l'ironie, j'ai la gaule... Encore trente minutes et on rentre chez nous, ça va être long.
Je vous raconte les faits : mon mec et moi étions conviés à un repas entre amis que Martin et moi avion prévus. Jusque-là, tout va ! À l'issue de ce repas, j'avais envisagé sans en parler à Nico, mon mec, qu'on fasse les putes pour deux ou trois mecs qui habitaient le quartier. Ces mecs, ça faisait longtemps que je les connaissais, je savais ce qu'ils valaient mais ça faisait un bail que je n’avais pas remis les pieds là-bas ! Depuis que je suis maqué en fait.
La soirée se passe tranquillement, ça finit par un action/vérité un peu osé mais qui nous mit l'eau à la bouche Nico et moi. On avait dû embrasser les pieds, les aisselles ou encore les couilles de quelques-uns de nos amis. Normal quoi ! Sortis à deux heures du matin de chez Martin, mon mec, tellement bouillant, a voulu me sucer direct dans la bagnole, je l'ai laissé faire un peu en l'insultant de petite salope en manque de bites et de pompe à jus.
"Ça te dit d'avoir plusieurs queues dans tes trous ce soir ma pute ?" que je lui ai balancé. D'un air intrigué, il répondit par la positive. J'envoyai donc le signal par SMS à Farid pour qu'il prévienne ses potes qu'ils allaient avoir sous peu deux petites cochonnes à leurs pieds. Il m'a très vite rétorqué que tout était prêt et qu'ils n'attendaient que nous. Très bien, pensais-je.
Je laissai donc ma chienne me récurer et me faire reluire le chibre et les boules sans pour autant me faire cracher la sauce. Sinon, il aurait été difficile pour moi de faire un tel plan. Au bout de cinq minutes de pipe, je le pris par le col et lui dit de me suivre. On est donc sortis de la voiture tranquillement et on s'est rendu chez Farid, il habitait au sixième et dernier étage d'un immeuble un peu mal famé du coin. Je sonne à la porte et attendant que l'on ouvre, je galoche mon mec comme jamais pour lui montrer que je le kiffe et qu'on va passer une excellente fin de soirée.
On ouvre la porte et je reconnais pas du tout le mec qui est derrière. Un putain de rebeu en boxer blanc avec des tablettes de chocolat à vous faire fondre et un paquet qui parait excessivement prometteur. "Hé les mecs ! Les vides couilles sont arrivées ! Venez les accueillir comme il se doit" lança-t-il. Et on vit arriver les uns derrière les autres sept mecs, tous en boxers et chauds comme la braise ! Waouh ! Ce n’est pas le scénario prévu mais vu les bombes, on ne va pas cracher dessus ! Je reconnus très vite mon pote Farid, au fond de la pièce, qui était complètement stone déjà.
On entra donc dans ce petit paradis de blacks et de rebeus, y'avait un seul blanc dans le tas, mais ce n’était pas le plus laid ! "Bon, on fait comme on a dit ! L'équipe A, vous prenez celui de gauche, il s'appelle Jared et l'équipe B vous prenez son mec ! On se donne rendez-vous là dans une heure pour comparer l'état de nos lopes respectives," dit Farid.
Euh... Ouais, pourquoi pas ai-je pensé ! Mais ça ne plaisait pas trop à mon mec apparemment qui m'a lancé un regard un peu désespéré. J'étais dans le même état que lui, je ne savais pas quoi faire, je suis donc intervenu en disant que ce serait mieux qu'on baise tous ensemble, j'avais besoin de mon mec à mes côtés, c'était prévu ainsi. Et, une mandale, une ! J'aurais mieux fait de fermer ma grande bouche, ils m'ont bien remis à ma place en me disant que les patrons, c'était eux et que j'avais absolument rien à dire ! Je me résolvais donc à accepter cette situation si étrange soit-elle. J'avais pour moi un black, deux rebeus et le fameux blanc-bec tant convoité ! Mon mec eut droit à deux blacks et deux rebeus, dont Farid. Que ça lui plaise ou non. On fut donc chacun traîné par les couilles jusqu'à notre chambre d'une heure respective. Et le spectacle commença !
D'abord défringué de force, on m'a attaché sur le lit sur le ventre de manière à ce que ma tête sorte du lit, mes quatre autres membres extrêmes étant chacun attachés à un coin du lit. Les mecs se mirent ensuite à poil et commencèrent tour à tour à me faire sucer leurs queues à demi molles. Une fois tous passés dans ma bouche, je pus remarquer que je m'attendais à pire ! Aucune queue n'était vraiment impressionnante, ça devrait donc passer pas trop difficilement. Celle du blanc devait quand même approcher les 6 centimètres de large sur une bonne longueur. Ce dernier vint d'ailleurs planter à nouveau sa bite dans ma gueule pendant qu'un autre commençait l'exploration de mon cul. Il se planta assez vite tout au fond de mon fondement, ce qui me fit crier, cris étouffés par la grosse bite de mon favori. Je sentis alors quelqu'un me monter sur le dos, c'était le black qui avait envie de se faire sucer par mon enculeur. Je n'avais encore jamais subi de trampling et je vous avoue que ce n'est pas si désagréable. C'est sûr, j'avais le dos pété en deux, mais c'était délicieusement humiliant d'avoir à subir toute cette masse sur moi. Le dernier mec à s'occuper de moi entreprit de s'occuper de mes pieds. Avec une bougie, il déposait délicatement de la cire sur la paume, ce qui avait pour but de me faire hurler, hurlements toujours étouffés par blanc-bec et son chibre épais. Je résume : je suis en train de me faire enculer tout en suçant une queue d'une largeur à faire pâlir un poney pendant qu'un mec me marche sur le dos et un autre me verse de la cire sur la paume de mes pieds et les orteils. Quatre raisons de jouir de plaisir.
Les rôles s'échangèrent beaucoup durant une bonne demi-heure, je me suis senti mal lorsque j'ai entendu mon Nico crier. Mais je me suis dit que c'était de plaisir. Je n'ai eu qu'une fois à subir le trampling, les autres se contentant de me faire sucer leurs queues avec un autre ou préférant me frapper les cuisses et les mollets. Je fus ensuite détaché, et j'en compris vite les raisons. La double pénétration ! Mon favori me demanda de venir s'asseoir sur lui. Ce que je fis sans me faire prier ! De plus, j'étais face à lui et je pensais qu’il était comme les autres, mais non ! Il rapprocha ses lèvres des miennes tout en m'enculant d'une force ! Si bien que j'ai à peine senti arriver le rebeu qui planta sa tige en moi bien profondément. Et là, ce fut l'osmose, je hurlais réellement de bonheur tant toutes ces queues plantées en moi me ramonaient sévère mais me donnaient un intense plaisir ! Je ne pus pas beaucoup profiter de la bouche du blanc, les autres voulant se faire sucer bien sûr ! On put tout de même sucer durant quelques minutes la queue du black avec nos bouches l'une contre l'autre, salivant un max sur cette teub !
Après ça, on me fit mettre assis par terre, les quatre mecs s'installèrent alors autour de moi, et j'eus droit à un bukkake du tonnerre ! Les doses de foutre giclaient et volaient de partout. J'étais au bout de ces quatre éjacs, recouvert de jus de la tête aux pieds. Beaucoup s'était perdu par terre malheureusement, ils prirent mon jogging pour en essuyer un max et me le balancèrent dans la gueule. J'étais là, souffrant des pieds, du cul et du dos, mais rempli de bonheur. Je songeai déjà à la dose de foutre qu'allait se prendre mon mec en rentrant ce soir pour calmer mon extrême excitation. Les mecs me prirent alors par les couilles, cette fois-ci à même la peau et m'amenèrent dans le salon pour que je retrouve mon mec et qu'on puisse partir tranquillement.
Quand on est arrivé dans la pièce d'à côté, mon mec était là, le regard perdu et le visage couvert de sperme, il avait de nombreuses marques rouges sur les fesses et le dos, il semblait ne plus en pouvoir. Totalement vidé. Les sept mecs repartirent alors de chez Farid lui laissant chacun un billet de 10€, pour s'être bien amusés et bien vidangés. On se retrouva les trois nus sur le canapé.
"Ça va les mecs ? On vous a assez humiliés ce soir ?" dit Farid. Pour ma part ouais, mais mon mec n'avait pas l'air du même avis, il n'a pas pipé mot. On est sorti de l'appartement. Et je lui ai demandé ce qu'il avait, ce par quoi j'ai eu cette réponse d'un ton très sec et autoritaire : "J'avais jamais été autant humilié de toute ma vie ! Ces mecs m'ont pourri ! Ils m'ont donné des coups de ceinture, m'ont fait prendre leurs teubs en fond de gorge, j'en ai même gerbé ! Ils m'ont enculé à tour de rôle, puis à deux, puis à deux avec une télécommande de Wii en plus ! L'un des mecs m'a ensuite fisté, et ils ont fini par juter tous dans ma bouche et pisser dans mon cul béant". Nous voilà de nouveau au début de l'histoire. Dans la voiture, à attendre ses mots.
Après quelques longues minutes de patience, on arrive enfin chez nous, il ne me dit toujours rien et moi je commence réellement à flipper. On monte à notre appartement en silence. Arrivés dans notre salon, il me lance enfin une phrase : « Fous toi totalement à poil, j’en ai rien à foutre que tu bosses dans 4 heures, tu vas morfler avant d’aller au travail, je vais te faire souffrir autant que j’ai souffert durant cette soirée ! » Je m’exécute donc sans broncher, je sais que ça sert à rien que je me révolte. Je n’allais apparemment pas assez vite pour lui qu’il m’a collé une droite dans la gueule qui m’a fait tomber à la renverse. J’étais à terre et je continuais de me déshabiller au plus vite. Je n’avais pas envie de m’en prendre une nouvelle de cette intensité.
Nico me prit ensuite par les aisselles et me traîna jusqu’à la cuisine, il me dit alors de m’allonger sur la table et sur le dos, qu’il allait chercher quelque chose. Je me plaçai donc sur cette table de manière à ce que mes jambes trainent le long des pieds de la table et que ma tête soit encore dessus, pas qu’elle pende. Il est ensuite arrivé, et m’a dit que ça ne le ferait pas ! « La tête en dehors de la table pour l’instant, j’ai besoin de ta bouche pour te défoncer comme la pute que tu es ! » Bon, je n’avais plus trop le choix, je me mis comme il m’avait dit, la tête penchée en dehors de la table afin qu’il puisse se servir de ma bouche à loisir. Il se saisit de mes jambes qu’il attacha aux deux pieds de la table, il fit de même avec mes mains. Je n’avais donc plus aucun contrôle de moi, je lui appartenais.
Il commença alors par me placer des pinces à linges sur tout le corps. J’en avais sur les couilles, sur mon long prépuce, sur mes tétons ou encore sur mes cuisses. Il vint alors se placer nu devant ma bouche, son sexe en main. « Avale tout sinon c’est avec des couilles bleues que tu vas arriver tout à l’heure au travail. » De longues rasades de pisse commencèrent alors à sortir de sa grosse bite, je m’empressai d’avaler goulument ce liquide doré jusqu’à ce que sa vessie soit totalement vide, et c’est après un litre de pisse ingurgitée que ça s'arrête. Il entreprit ensuite, étant donné qu’il n’avait pas encore une complète érection, de faire entrer dans ma bouche sa bite ainsi que ses couilles pourtant bien massives. Il y arriva après plusieurs manipulations, et je faillis gerber des dizaines de fois. Mais il s’en foutait royalement ! Il entreprit ensuite de me labourer la gueule avec sa queue qu’il faisait rentrer bien à fond. Il la ressortait complètement pour faire sortir un peu de précum et me le faire avaler… Cela dura bien une demi-heure, si bien que le sang me montait à la tête. Il le comprit et me plaça alors la tête sur la table pour la suite du plan.
Après le pied qu’il a pris avec ma bouche, il va encore bien profiter de moi. Il retira les pinces une à une et j’avais pour ordre de ne pas hurler sous peine de coups de ceinture. Je me retrouvai nu comme un ver attaché à cette table et lui tournait autour de moi en réfléchissant à ce qu’il allait pouvoir m’infliger. Il partit encore quelques instants afin de chercher des bougies, je connaissais pertinemment la suite. La cire sur mon corps allait me brûler encore et encore tout ou parties de mon corps. J’avais raison, il alluma un premier cierge qu’il me fit couler sur le torse et la queue, ce qui fait un mal de chien. « Dans deux heures, tu dois être au travail mon Amour… » lança-t-il avec un regard de pervers qui en disait long. Il s’en foutait, il ne bossait pas le lendemain, il pourrait donc dormir toute la matinée. Moi, je prenais à 8h du matin, départ à 7h et il était déjà donc 5h.
« Passons aux choses sérieuses ! » Avec ces mots prononcés, il se plaça à genoux au-dessus de ma tête et commença une pluie de mollards bien glaireux et de baffes à m’en faire perdre connaissance. Le traitement était simple et efficace : je devais me prendre une baffe bien puissante, le remercier et il me lâchait un mollard que je devais goulument avaler. Cette action se répéta des dizaines de fois, mais ou allait-il chercher toute cette salive ? Il me fit ensuite bouffer son cul tout boursoufflé de ce qu’il s’était pris plus tôt dans la soirée, ça devait lui faire le plus grand bien car il gémissait de plaisir à chaque coup de langue. Pendant que je m’exécutais, il s’amusait avec mes couilles et ma queue qui était à son excitation la plus forte après tous ces ébats. Il la giflait, la prenait parfois en bouche, il jouait avec.
Et puis, il me détacha les bras et les jambes pour me placer cette fois-ci cul offert à lui. Les jambes toujours accrochées aux pieds de la table et les bras reliés entre eux au-dessus de ma tête. J’eus donc droit à la sodomie du siècle ! La plus longue de la soirée, et ce n’est pas peu dire ! Parce que j’en avais déjà pris dans le cul ce soir ! J’ai eu l’impression que ça durait des heures, mais il savait y faire ! C’est donc au bout d’un temps interminable qu’il choisit de gicler bien au fond de mes entrailles pour bien montrer mon appartenance. Il me détacha alors, mon calvaire était terminé.
« 6h28, il te reste quelques minutes pour te préparer. Tu vas aller à ton taf avec mon jus dans ton petit trou, et garde le bien tout aujourd’hui ! Je vérifierai ce soir. Ça t’apprendra à me faire faire de tels plans ma petite salope ! » dit Nico d’un ton beaucoup plus calme. J’allai alors m’habiller pour aller au travail. Je gardai le jus dans mon cul toute la journée, j’avais trop peur de ce qu’il pouvait encore m’infliger…