Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
DAMIEN (suite N° 8)
Résumé: Max le prof de gym initie Damien, un lycéen de terminale, à l'homosexualité et à la sodomie passive. Damien aime tellement ça qu'il en devient "obsédé. Bientôt Max ne lui suffit plus et c'est Marc et Patrick qui s'unissent à lui pour former un fameux trio. Mais Damien est devenu insatiable. L'équipe de hand-ball y passe en entier dans un gang-bang d'enfer. A la fin de l'année une grande fête sexuelle est organisée dans le cabanon des parents de David et c'est la fin d'une époque. Damien s'engage dans l'armée...là, il n'y a que des hommes ...hummmmh
Le voilà maintenant libéré des obligations militaires et il vogue vers de nouvelles aventures ...
Cela faisait
une semaine que j'avais été libéré de mes obligations militaires et j'avoue que je trouvais le temps long à Paris où il faut l'avouer je n'avais rien à faire et j'avais encore une semaine à tuer
avant de rentrer au Maroc.
J'avais envie de faire l'amour avec un homme, je sentais mon anus qui battait la
chamade, il se contractait et s'humidifiait dans l'attente d'une intrusion, c'était clair, j'avais envie d'un mec.
J'étais prêt à tout, le désir était trop fort, trop impérieux, je sortis.
Depuis longtemps, l'idée d'aller au sauna m'attirait.
J'avais lu dans des revues de sexe des récits de types se faisant sodomiser.
À chaque fois, je constatais que ces lectures me procuraient un sentiment indicible, j'étais tout chose,
pantelant.
J’allais au Continental près de l'Opéra, bien que j'ai une grande habitude de la baise homosexuelle, je ne sais pas
ce qui me prit mais j'avais le ventre noué en rentrant, j'avais l'impression d'être rouge de honte.
Je payais, pris la serviette et la clé de mon casier.
Je me dévêtis et une fois nu, j'attachais la courte serviette autour de mes reins et lançai à la découverte de
l'établissement.
Il se déclinait sur plusieurs étages, il y avait des couloirs sombres avec des cabines ouvertes pour
certaines.
À l'intérieur, un type attendait un amant éventuel, d'autres étaient occupées avec des couples qui se caressaient à
la vue de tous.
Enfin, des cabines étaient fermées, de celles-ci, on entendait des gémissements et des halètements de plaisir
accompagnés de bruits sourds et rythmés, manifestement des mecs se faisaient baiser à l'intérieur.
Cette manifestation sonore provoqua en moi un trouble vivace.
L'endroit me plaisait, j'étais sur de trouver un ou plusieurs amants.
En découvrant au fur et à mesure les installations, l'excitation montait inexorablement en moi, je sentais les
palpitations de mon anus qui devenaient de plus en plus impérieuses.
Je découvrais le sauna où je restais quelques minutes.
Ce n'était pas trop mon truc, ou plutôt, je pressentais d'autres lieux de plaisir.
Ce fut le tour du hammam, tout de suite, je sus que c'était mon endroit préféré.
Avec cette vapeur qui envahissait la pièce au point qu'on ne voyait pratiquement pas les
occupants.
Il fallait s'approcher pour voir un visage, une silhouette.
La chaleur humide saisissait tout le corps.
C'était éminemment sensuel comme impression.
Je remarquais des types en train de se caresser et de se sucer.
Je m'installai sur une des banquettes de faïence blanche je me mis nu, le corps semi allongé, les cuisses ouvertes,
offert aux regards.
Je n'attendis pas longtemps, un homme d'une quarantaine d'année se présenta devant moi.
Je lui souris, il posa sa main sur ma poitrine, à plat, il caressa successivement mes deux
seins.
Il se pencha pour m'embrasser à pleine bouche, brûlant de désir je répondis à son baiser.
Son autre main partit en exploration sous mes fesses, il titilla doucement mon œillet avant d'enfoncer un doigt et
puis deux dans mon anus humidifié par la vapeur.
Je le laissais faire, mieux je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin
possible.
Il me pénétrait toujours avec deux puis trois doigts.
L'homme me proposa d'aller ailleurs, dans la salle vidéo.
On s'installa dans le fond sur une banquette, dans une semi obscurité.
La vidéo qui tournait où un type enculait un jeune mec me permit de voir que nous n'étions pas tout
seul.
Je me suis assis sur les cuisses de mon amant, son sexe se glissant entre mes fesses, nous nous sommes embrassés
langoureusement.
Ses mains, ses doigts partaient à la découverte de mon corps, je sentais sa chaleur, il mordilla la pointe de mes
seins, je n'en pouvais plus de désir, c'était trop bon.
Je soulevais mes fesses, l'homme comprit le message, empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit
trou.
Son gland s'enfonça doucement, le gland progressa, il passa l'obstacle du sphincter sans que je ne ressente la
moindre douleur, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de mon cul.
On s'embrassa à nouveau, longuement tandis que je montais et je redescendais sur la tige de mon
mec.
Le baiser, la pénétration, et les caresses sur tout mon corps me firent défaillir, je perdis pied, j'étais pantelant
de plaisir.
Ma jouissance montait progressivement, elle irradiait tout le corps, le cul, le ventre.
L'homme éjacula, je sentis dans mon cul, un puissant jet de foutre et nous restâmes quelques minutes ainsi, lui
encore en moi.
Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la marque de la queue du type qui venait de
m'enculer.
J'aimais cette sensation, d'avoir le cul ouvert aux yeux de tous.
L'homme se dégagea, il m'embrassa d'un léger baiser sur la bouche en me donnant une légère tape sur les fesses puis
il me dit "J'aime ton petit cul, on se voit tout à l'heure ?
- Pourquoi pas.
- J'ai le sentiment que tu as l'intention de te faire prendre plusieurs fois, n'est-ce pas
?".
- Tout à fait.
- Tu as raison, à ton âge, il faut en profiter et puis, ces petites fesses sont faites pour être
découvertes".
Je découvris pour mon plus grand plaisir que c'était facile de se faire sauter dans un sauna comme le
Continental.
Tous ceux qui venaient dans l'établissement avaient bien l'intention d'avoir des relations sexuelles avec un
partenaire, voire plusieurs.
Cela me convenait parfaitement et j'avais bien l'intention d'en profiter.
Je me suis installé dans une cabine qui ressemblait à celle d'un sous-marin ou à ces espèces de cellules japonaises
construites en raison du manque de place pour les habitations.
Elle était toute blanche, plutôt étroite et très peu haute. On ne pouvait pas tenir debout et il fallait entrer
accroupi.
J'ai laissé la porte ouverte, je me suis allongé sur le ventre, les cuisses écartées laissant apparaître mon trou
distendu pour montrer que j'étais offert.
Plusieurs fois, j'ai senti que des types regardaient mais ils n'insistaient pas.
Je commençais à être déçu quand j'ai senti une présence.
Un homme venait me rejoindre, je plongeais mon visage dans mes bras repliés offert.
Dans le petit espace, l'inconnu me rejoignit, il me caressa la nuque ce qui eut le don de me faire
frissonner.
Il fit de même avec sa bouche tout en me caressant les fesses.
Les caresses me procurèrent un intense plaisir.
Il me glissa un doigt dans le cul, satisfait par le trou dilaté, il se positionna sur moi, pesant de tout son
poids.
Son sexe s'enfila sans problème dans l'anus lubrifié par le foutre de mon précédent amant.
L'homme se mit à me pilonner avec vigueur ma faisant gémir de plaisir.
Il me souleva pour que je me mette à quatre pattes, en levrette puis il se mit à me chevaucher, ses cuisses
entourant ma croupe.
La pénétration était profonde, puissante, je râlais de plaisir.
Un autre homme, attiré par mes gémissements, nous avait rejoints.
Il s'était glissé devant moi, m'offrant son sexe.
Je le pris en bouche, le suçant au rythme des coups de butoir de l'autre inconnu qui me défonçait
littéralement.
J'étais aux anges, les deux types éjaculèrent en même temps, comme s'il s'était donné le
mot.
Les deux jets de sperme dans ma bouche et mon cul me tétanisèrent littéralement.
Un orgasme d'une sauvagerie intense déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon amant pour
accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge.
Je ne bougeais plus, le cul toujours plus ouvert, évasé par les deux queues qui m'avaient
pénétré.
Les deux inconnus m'abandonnèrent et je restai allongé savourant autour de ma corolle ravagée les dernières
contractions du plaisir.
Plus tard, je découvris la backroom, elle était petite avec des matelas posés à même le sol.
J'étais à l'entrée, tentant de regarder à l'intérieur et hésitant à entrer.
Un type était derrière moi, je le sentis se rapprocher, je fis glisser ma serviette, la plaçant autour de mon cou,
lui offrant mon cul nu.
Il comprit, il mit sa queue entre mes fesses, la faisant coulisser.
Il pointa son gland sur l'œillet humidifié par le désir.
Le gland s’introduit légèrement puis l’homme continua sa pression très lentement comme pour mieux apprécier la
découverte de mon cul.
Le sexe glissa millimètre par millimètre, m'enculant totalement, son ventre contre mes fesses, ses couilles plaquées
contre l'anus.
C'était bon et totalement excitant, J'étais là debout en train de regarder l'entrée de la backroom et je me faisais
enculer avec des gens debout autour de moi.
Nous restâmes là quelques minutes, lui complètement en moi et moi me sentant comme une chienne en
chaleur.
Je me contractais, bougeant doucement mon cul, pour mieux ressentir la pénétration et lui donner envie de me fourrer
totalement avec fougue.
Il me poussa légèrement me faisant comprendre d'avancer.
Nous rentrâmes dans la pièce obscure, lui toujours en moi.
J'étais aux anges, je me sentais vraiment obscène, le cul dilaté totalement par une bite sublime, en train de
marcher à petit pas pour ne pas déculer.
Il me dirigea vers le fond de la pièce plutôt qu'un matelas.
Il se plaqua contre un mur et là il commença à me limer avec vigueur.
Ses mains parcouraient mon torse, ses doigts titillaient mes seins.
Mon amant m'entraîna sur un des matelas où il y avait un autre homme.
Sans trop avoir le temps de tout comprendre, je me retrouvai sur mon mec en 69, les fesses
offertes.
L'autre homme me pénétra jusqu'à la garde d'un seul coup de reins, mon cul était un vrai boulevard à bites, le
sperme poissant mon trou de balle.
Le type me sodomisa divinement, sa queue était longue et épaisse et surtout, il allait au plus profond, alternant
pénétration lente et rapide.
Il m'amena à l'ultime jouissance, tout mon corps tressauta, tellement ce fut puissant.
Les deux hommes s'écartèrent de moi et partirent, je restais quelques instants les yeux clos, cuisses écartées
savourant le merveilleux moment que je venais de vivre.
Au bout de quelques minutes, je me suis levé, suis retourné aux vestiaires pour me rhabiller et rentrer à
l'hôtel.
Arrivé dans ma chambre, j'ai pris une longue douche puis je me suis couché sombrant aussitôt dans un profond sommeil
peuplé de rêves érotiques.
La veille de mon départ, je suis retourné au sauna.
J’arrivai au sauna dès 16h avec la ferme intention de continuer mon exploration, je poussais la porte du sauna rouge
d'excitation, je prenais à nouveau un ticket.
Comme la première fois j'avais comme une boule dure au niveau du bas ventre, bizarre pour un habitué de la baise
mais je crois que c’était l’atmosphère étrange de ce genre de lieux où on se fait enculer par des mecs qu’on ne connaît pas qui ne se présente pas, tout est anonyme.
Mon anus lui battait littéralement la chamade.
J'avais envie d'être pris à nouveau, d'être sodomisé bien profondément par plusieurs
partenaires.
L'autre fois, quatre inconnus avaient investi mon cul, ils m'avaient superbement fait jouir et je voulais
recommence.
Je voulais être pantelant, épuisé par une baise totale en écumant les lieux jusqu'à la fermeture, jusqu'à
23h.
Je me repassais le film de cette aventure, je me revoyais en train de sucer une queue en 69 dans la backroom tout en
me faisant enculer ou coincé debout entre les deux hommes dans le fond de la salle obscure.
Le type de la caisse me donna la serviette et le collier avec la clé d’un casier.
J'étais déjà moins hésitant, j'avais l'avantage maintenant de connaître en partie les locaux et surtout de mieux
connaître les us et coutumes de ce lieu de plaisir.
Je me déshabillais totalement, une fois nu, je nouais la mince serviette blanche autour de mes
hanches.
Je commençais par un premier tour de piste, je repérais les endroits stratégiques que je n'avais pas totalement
mémorisés en raison des niveaux différents, du dédale dans ce véritable labyrinthe.
Il y avait le jacuzzi avec son eau bouillonnante, la piscine, les cabines, objets de désir avec leurs portes
ouvertes donnant sur des corps allongés, en attente d'un éventuel amant, ou portes fermées avec des gémissements à l'intérieur qui me faisait frémir de désir.
Des types se caressaient et s'enculaient manifestement avec force.
Il y avait tous ces types qui passaient et repassaient ou qui se positionnaient en attente le long des murs, en
train de mater ce qui se passait.
Je restai ainsi à regarder dans une des cabines, où la porte était restée ouverte, un jeune gars comme moi se
faisait caresser par un homme d'une soixantaine d'années.
Le jeune était en extase tant les effleurements prodigués semblaient délicieux.
L'homme le caressa longuement, embrassa sa peau millimètre par millimètre.
Il lui ouvrit le cul avec science, mêlant sa langue avec ses doigts, préparant le sphincter à s'ouvrir sur son
sexe.
Puis il le pénétra, en levrette, son sexe entra doucement, lentement, jusqu'à la garde.
En même temps qu'il le sodomisait avec art, il caressait tout le corps du garçon.
Le visage du jeune homme était extatique, j'en étais littéralement fasciné et jaloux tant j'aurais voulu être à sa
place, je sentis une douce chaleur se propager dans mon corps et mes fesses devenir bouillantes.
Je repartis dans mon exploration, je mémorisais bien le sauna et le hammam avant de repartir vers le jacuzzi situé à
quelques mètres de la petite piscine.
Je me glissai dedans, l'eau était chaude, les bouillonnements de l'eau caressaient mes
fesses.
Un homme d'une trentaine d'années aux cheveux noirs vint me rejoindre.
Il me regarda en souriant puis je sentis un pied me frôler l'intérieur de ma cuisse, je ne bougeai
pas.
Satisfait, il vint me rejoindre et m'embrassa d'emblée.
Nos corps s’enlacèrent, c'était bon ce contact dans l'eau.
Je pris son sexe dans mes mains, flattant son membre et ses couilles.
Il m'invita à le suivre dans une des cabines, trop heureux je l'ai suivi.
J'aimais trop cette sensation d'offrir mon cul à de multiples queues qui m'investissaient, d'être en attente, le cul
ouvert, de la queue qui allait me pénétrer jusqu'au plus profond de moi.
Je me sentais une vraie salope exhibitionniste et ce pouvoir de séduction en tant que chair fraîche m'enivrait
totalement.
Il y avait aussi le coté obscène des possessions, des enculades qui me séduisait, être un autre dans cet antre
obscure.
S'offrir en repliant sur soi ses cuisses son anus ouvert aux regards des autres était proprement
sublime.
S'offrir, à quatre pattes, en levrette, la tête bien calée entre les bras sur le matelas de skaï humide, était pour
moi, un plaisir psychologique proprement libérateur et je ne parle pas de mon bonheur de sentir le gland s'enfoncer lentement en moi aux yeux de tous.
Dans la cabine, porte ouverte, aux yeux de tous ceux qui passaient dans le couloir, l'homme m'enlaça virilement tout
en m'embrassant à pleine bouche.
Son baiser qui me fit chavirer, nus, debout, serrés fiévreusement l'un contre l'autre, je me sentis devenir tout
chose.
Ses mains caressaient tout mon corps, s'attardaient sur mes fesses.
Il comprit vite que j’adorais ces attouchements tant je remuais mon bassin sous ses paumes bien placées à
plat.
Je gémis quand un doigt se posa sur mon anus et me pénétra.
Le mec me positionna à plat ventre sur le petit matelas recouvert d'une housse en plastique.
J'écartai mes bras et mes jambes au maximum, pour bien l'épouser avec mon corps mouillé.
Je cambrai mes fesses pour qu'il puisse me préparer.
Il posa sa bouche sur mon anus, sa caresse m'électrisa, elle me fit frissonner.
Il darda sa langue dans l'œillet pour l'ouvrir, il l'humecta bien avec sa salive.
Son index commença à rentrer doucement avec des mouvements rotatifs.
Un deuxième puis un troisième s'enfoncèrent à l'assaut du sphincter, pour bien le détendre.
J'avais la tête enfouie dans mon aisselle gauche, je geignais doucement tout en me laissant faire, cuisses
ouvertes.
L’homme jugea que la préparation était suffisante, il se plaça sur moi, positionnant son gland à l'orée de mon
cul.
Je frémis de plaisir, il allait s'enfoncer en moi et je l’invitais en remuant des hanches.
Il m'encula d'un coup, la douleur me vrilla la tête, j'aurais préféré plus de délicatesse.
Le souffle coupé, le corps écrasé par mon partenaire, je tentais de reprendre ma
respiration.
Enfoncé totalement en moi, ses couilles contre l'œillet, le type attendit un peu que je m'habitue à son
membre.
Puis, il démarra doucement son mouvement de va-et-vient avant d'accélérer.
Je le sentais m'envahir totalement, me dilater, et le plaisir succéda à la douleur.
Il me souleva pour m'installer à quatre pattes, sa pénétration devenait de plus en plus profonde, je m'ouvrais
totalement sous ses coups de boutoir.
Le plaisir était sublime, je ne pouvais plus me retenir, je me suis mis à gémir sans retenue au rythme de ses
assauts.
La jouissance progressa de mon cul à mon bas ventre, mon anus se contracta spasmodiquement autour du sexe enfoui en
moi, provoquant son éjaculation à grands traits.
Les jambes flageolantes, je me suis écroulé sur le matelas avec lui toujours en moi.
Nous sommes restés ainsi durant plusieurs minutes, son sexe devenant flaccide.
Mon partenaire de baise se souleva, posa un baiser léger au creux de ma nuque et me dit "T'as un beau petit cul bien
accueillant, on se reverra tout l'heure, j'aimerais bien baiser avec toi dans le backroom, tu sembles plutôt chaud".
Il me laissa seul dans la cabine, la porte ouverte, mon cul offert d'où dégoulinait son
foutre.
Je n'eus pas le temps de respirer que déjà un autre homme me rejoignit.
Il avait dû nous observer tandis que le premier inconnu m'enculait avec vigueur.
Il s'allongea sur moi tout en me pénétrant d'un coup, sa queue entra en moi sans coup férir, profitant de mon anus
dilaté, distendu et lubrifié par le foutre précédent.
L'homme dont je ne voyais pas le visage me lima vigoureusement.
Son bassin claquait sur mes fesses tandis que le rythme de sa queue provoquait un bruit de succion chaque fois que
mon anus l’avalai, j'étais devenu femelle, je m'offrais totalement.
Je voulais que mon amant me sodomise vigoureusement.
Ce désir devenu était de plus en plus violent, de plus en plus impérieux.
Soudain l'homme sortit sa queue de mon cul et éjacula sur mes fesses puis, il s'en alla sans même me dire un
mot.
Je sentais mon anus encore entrouvert et surtout palpitant de désirs inassouvis.
Les reins et les fesses poisseuses de sperme, je me dirigeai vers les douches pour me
nettoyer.
Des hommes se savonnaient, je fis de même, je pris soin de me laver l'anus, pour le rendre désirable, en me
pénétrant avec les doigts savonnés.
Des regards se posèrent sur moi et j'imaginais aisément que mon petit trou devait encore porter la marque des deux
queues qui m'avaient sodomisé.
La porte du hammam était près des douches, je me décidais à y aller.
Je poussais la porte et comme la veille je fus surpris par la bouffée de chaleur humide qui enveloppa tout mon
corps.
C'était trop bon, pleinement sensuel, j'allais vers le fond, près de la petite fontaine d'eau
froide.
Mes yeux essayaient de s'habituer au mur de vapeur qui envahissait la pièce.
Sur les banquettes de faïence blanche des hommes se suçaient ou s'embrassaient.
J'entendais des gémissements sur un des cotés de la pièce mais je n'apercevais pas leurs
auteurs.
Un homme manifestement quinquagénaire, plutôt bien de son physique, avec son sexe en parfaite érection, émergea des
volutes de vapeur devant moi.
Je ne pus résister, je me soulevais pour m'asseoir et je flattais son membre de tout son long avec mes mains
réunies.
Il se pencha sur moi pour m'embrasser, le baiser de ce type me fit chavirer.
Ses mains avaient glissé sous mes fesses tandis que ses doigts me pénétraient facilement.
Sur la banquette de faïence blanche, il me replia sur moi-même, cuisses contre mon torse, le cul bien
offert.
Il m'encula d'un coup, bien au fond, ses couilles bien plaquées contre l'iris distendu, il entama un long va et
vient, accélérant, ralentissant ses coups de butoir.
Je perdais pied, en même temps, je percevais plusieurs types qui s'étaient rapprochés autour de
nous.
Il s'arrêta, et bien au fond de moi, il me souleva sur sa pine, debout.
Après quelques minutes dans cette position, il me positionna à quatre pattes sur le
carrelage.
Il m'encula avec force durant de longues minutes tandis que je prenais en bouche et en mains les queues qui se
présentaient à moi.
Le quinquagénaire se déversa en moi, en plusieurs longs jets qui fusèrent le long de mes parois surchauffées me
faisant jouir bruyamment.
A peine mon amant retiré, un autre se glissa à l'intérieur de mon cul accueillant tandis que les queues face à moi
m'éjaculaient sur le visage.
Dans le hammam, je fus enculé successivement par cinq hommes.
J'étais couvert de foutre, le visage dégoulinant de sperme.
C'est un grand black qui m'acheva, avec sa longue queue bien large, j'ai eu le sentiment d'être ouvert en
deux.
Ce fut douloureux dans les premiers instants mais diablement bon par la suite.
Mon fourreau anal s'habituant progressivement à bien envelopper la totalité de son sexe.
J'étais tellement surpris de l'accueillir intégralement en moi, que je vérifiais que ses couilles étaient bien
plaquées contre mon anus complètement distendu.
Au bout de quelques instants il me proposa de continuer à baiser dans la backroom.
Une fois arrivé dans la backroom je lui ai offert mon cul, debout, cambré face à un mur.
J'ai écarté mes fesses dans une pose obscène, pour dégager l'anus d'où dégoulinait le
sperme.
Il était grand, immense, avec une longue queue, large et puissante.
Il m'a enfilé d'un coup, je l'ai avalé au fond de moi sans problème tant mon cul était
lubrifié.
Lui aussi s'amusa à me soulever, empalé complètement sur sa queue.
Mes fesses sur son ventre, il me soulevait sur toute la longueur de son sexe, jusqu'au gland, puis d'un coup il me
laissait retomber sur ses couilles.
C'était prodigieux, j'étais en littéralement en transe.
Il m'a ensuite placé en levrette sur un des matelas, à côté d'un jeune homme qui se faisait prendre dans la même
position par un type plus âgé.
Avec le jeune gars, nous nous faisions enculer tandis que nous nous embrassions à pleine
bouche.
Les hommes dans la backroom se sont rapprochés, ils nous ont entourés.
Certains se sont avancés pour nous caresser, je pris en bouche celle du type qui était en dessous de
moi.
Excité par cette orgie, le black derrière moi enfourcha ma croupe, me pilonnait le plus vigoureusement possible,
telle une pouliche.
Epuisé, pantelant, je me suis allongé bien à plat sur le matelas.
Mon amant m'a couvert complètement de tout son corps ruisselant de transpiration.
C'était agréable de sentir nos deux épidermes humides et moites l'un sur l'autre.
Avec une impression de ne plus pouvoir réagir, d'être vraiment possédé totalement.
J'ai joui comme jamais, du cul au bas ventre, sans me toucher.
Le plaisir est monté, immense, incroyable, mon anus s'est contracté, offrant à mon partenaire de sexe, des spasmes
de plus en plus violents autour de sa queue.
Il éjacula longuement, à longs traits, nous restâmes de longes minutes ainsi.
J'étais bien, lui aussi manifestement, je sentis son sexe regrossir puis recommencer à glisser en
moi.
C'était prodigieusement bon, j'appréciais qu'il continue à me transpercer avec sa bite.
Il m'a possédé encore plus longuement, je croyais être exsangue de sperme mais j'avais tort.
Sous ses coups de butoir, il m'a propulsé encore à mille lieux dans le plaisir.
Toujours sous le regard des types qui baisaient dans la backroom, le black s'est déchaîné, pilonnant mon cul à
grands coups de bassin.
Telle une poupée de chiffon, mon corps tressautait sous ses assauts puissants et vigoureux jusqu'à l'éjaculation
finale qui me provoqua un orgasme dévastateur me portant aux portes de l’inconscience.
Le black partit me laissant seul savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Au bout de plusieurs minutes, je me levais plutôt chancelant, pour aller me doucher.
J'étais venu pour me faire enculer, j'avais été exaucé au centuple.
Une fois propre je repris le chemin de mon hôtel.