Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
Vous retrouvez l'ensemble des épisodes de ce récit en cliquant sur la catégorie RECITS REELS bonne lecture !
Comme toi il est un visiteur assidu du blog gaycavaillon et voilà comment notre désormais ami et complice Julien a débarqué :
Bonjour,
Je te propose un récit à mettre sur le site gaycavaillon.
il est en grande partie lié à des moments vécus.
Merci>
Cordialement / julienpetitjean
déjà fini ! on commençait à peine à se régaler !
Il faudra que tu nous en sortes vite un autre, tu es un génie du récit érotique
...prends-moi maintenant, j’en ai besoin ... -16-
Giiullio a prévenu : les cours du jeudi se dérouleront dorénavant chez lui à 16 heures 30 précises. Il faut venir à l’heure.
Fabien est prêt depuis longtemps et c’est vingt minutes plus tôt qu’il sonne à la porte de l’appartement de Giullio. Celle-ci s’ouvre, Giullio lui sourit en le faisant entrer tout en remarquant qu’il est loin d’être en retard. Il est simplement vêtu d’un short court laissant apparaitre une barre sur le côté gauche. Il revient de la salle de sport, il prend sa douche et revient dans quelques minutes précise-t-il. Fabien s’assoit sur le canapé et attend le retour de son ami. Quand celui-ci pénètre dans le salon, Fabien n’en croit pas ses yeux. Giullio est devant lui, nu comme un ver avec une trique d’enfer. Son sexe est à la verticale, son gland touche son nombril : il est super excité. Il regarde Fabien et lui dit : , vite dessape-toi. Fabien s’exécute, il se retrouve nu lui aussi et s’approche de Giullio la bite tendue et humide. Giullio est déjà à quatre pattes sur le tapis du salon, les jambes écartées, le cul ouvert et lubrifié. « Viens vite, je n’en peux plus, j’ai envie de toi » dit-il. Fabien pose son gland sur l’anus dilaté et pénètre Giullio sans aucun effort. Il le lime avec plaisir tout en précisant qu’il ne sent pas très bien les parois du cul tellement celui-ci est dilaté. Giullio explique que c’est dû à un grand état d’excitation ou de manque.
On sonne à la porte, ce doit être Seb. « Va lui ouvrir » demande Giullio. Fabien retire sa queue des fesses de son ami, la regarde et va ouvrir la porte. Ebahi ! Seb est ébahi en voyant ainsi Fabien, la queue luisante, super tendue avec quelques soubresauts. En entrant, il a à peine le temps de comprendre la position de Giullio avant que celui-ci ne lui demande de se dévêtir et de venir le sucer pendant que Fabien l’encule, Fabien qui a repris aussitôt ses va- et- vient. Quelques instants plus tard, Giullio positionne Fabien sur le dos, s’assoit sur sa bite en le regardant et demande à Seb d’enfiler un préservatif et de venir la lui mettre. Deux bites dans le cul ? s’interroge Fabien. Giullio confirme qu’ils devraient apprécier mais que tout d’abord il faut que Seb aille au fond. Après il demande qu’ils le liment tous deux à la même vitesse et en même temps puis en décalé : un enfonce pendant que l’autre remonte. Giullio râle de plaisir mais Fabien n’en peux plus. Il a beau dire qu’il va juter, personne ne l’écoute mais quand il asperge le cul de Giullio, celui-ci se met à éjaculer de longues giclées de sperme. Seul Seb, la bite à la main n’a pas eu temps de jouir. Giullio lui demande alors de baiser Fabien, allongé sur le dos après les efforts qu’il vient de fournir. Peu de temps après, Seb jouit à son tour et c’est à poil tous les trois que se déroule ensuite la leçon d’italien.
Giullio demande à Fabien de rester un peu plus longtemps au cours et libère Seb. Quand ils se retrouvent tous les deux, ils se jettent de nouveau l’un sur l’autre et bite tendue se pénètrent alternativement. Quelques minutes chacun et on inverse les rôles. Ce jeu permet de recharger ses batteries quand on se fait mettre. Les baisers qu’ils échangent en disent long sur l’intérêt qu’ils se portent et leur plaisir d’être ensemble.
Le cours finit dans la salle de bain où les langues travaillent davantage que le gant de toilette !
-17-
Ce samedi est exceptionnel, tout d’abord grâce à Emma et ensuite grâce à Franck qui a invité Fabien à sa soirée d’anniversaire pour ses quinze ans.
Après l’entrainement de tennis, Emma informe Fabien que son père vient la chercher au club et que par conséquent ils ne pourront pas rentrer ensemble chez elle. Fabien est dépité et à ce moment, Emma lui glisse à l’oreille : douche numéro quatre. Fabien se sent revivre.
Il entre dans la douche indiquée, commence à se déshabiller et Emma y pénètre aussi de son côté. Vite fait, ils se retrouvent nus tous les deux et déjà leurs bouches gourmandes sont en plein travail. Emma aime sentir le sexe raide de Fabien contre son ventre et les mains de celui-ci parcourir le bas de son dos. Ils n’ont pas beaucoup de temps et très rapidement Emma s’allonge sur le dos et appelle Fabien de toute son envie. La queue tendue s’approche de la chatte et sans aucune difficulté pénètre au fond de cet étui doux et chaud. Emma glousse, Fabien la lime en accélérant progressivement la vitesse. Il n’en faut pas plus pour qu’Emma soit saisie d’un puissant orgasme et que Fabien jouisse en elle. Ils s’embrassent de nouveau tous les deux et Fabien lui annonce qu’il aimerait bien goûter un jour son deuxième petit trou. La réaction d’Emma est immédiate et surprenante. Pourquoi pas ! dit-elle en se retournant, se mettant à quatre pattes et en élargissant son anus. Elle complète en signifiant à Fabien que comme il bande toujours, il n’a qu’à la prendre comme cela dès maintenant. Fabien humecte davantage son gland et le présente devant le petit orifice. Emma de son côté élargit l’ouverture avec ses deux mains placées chacune sur une fesse. Fabien présente son organe tendu et doucement appose son gland sur l’anus. Il remouille de nouveau son extrémité et pousse lentement. Emma émet un petit cri et lui demande de continuer. Fabien force un peu et fait pénétrer son gland. Emma geint mais Fabien poursuit son entrée, il revient ensuite en arrière et repart en avant en enfonçant son sexe un peu plus profondément. Il sent l’anus se dilater et commence alors quelques allers retours en douceur. Ce sont maintenant des cris de plaisirs qui sortent de la bouche d’Emma. Hélas, Fabien sent qu’il ne pourra plus tenir très longtemps et il le dit à sa partenaire. « Viens quand tu veux » lui dit-elle, il me faut encore un peu de temps ! Fabien ne se retient pas et, pris de spasmes, envoie un flot de sperme dans le cul d’Emma. Il s’effondre sur elle, repus de plaisir et fatigué de sa prestation. « Nous aurons l’occasion de recommencer rapidement et ce jour-là, mon père ne m’attendra pas » lui dit Emma en se relevant avant de prendre une dernière douche.
Emma partie, Fabien se rince de nouveau et sort nu de la douche pour rejoindre son vestiaire. En fermant la porte, il entend des sons étouffés qui proviennent de la douche collective. Lentement, il s’y approche pour assouvir sa curiosité. Il reste debout, appuyé sur le chambranle et voit avec excitation ses deux autres partenaires, nus, l’un à genoux devant l’autre en train de le sucer. Ni une, ni deux, son sexe se met au garde à vous et il se caresse mollement en les regardant. Brutalement, celui qui est debout constate la présence de Fabien et exécute un mouvement de recul. Fabien lui sourit et se retire, il ne veut pas leur gâcher un tel moment de plaisir.
Vingt heures trente lui a dit Franck et tu restes dormir. Fabien rentre chez lui se changer et se restaurer avant de repartir pour cette soirée d’anniversaire. Franck habite à une dizaine de minutes de chez lui. Il prend donc le temps de flâner et de récupérer de sa journée bien sportive. Il est l’heure un peu passée quand il sonne à la porte de l’appartement de Franck. C’est lui qui vient lui ouvrir. Il est vêtu d’un simple pantalon de jogging, torse et pieds nus. Fabien regarde son entre-jambes et constate qu’il ne porte certainement pas de sous vêtement. Son sexe parait bien mobile dans le jogging. « Va te mettre à l’aise et pose ton blouson dans la deuxième chambre au fond à droite » lui dit Franck avec un large sourire. Fabien s’exécute et du couloir aperçoit une vingtaine de personnes présentes déjà dans le salon. Il en profite pour examiner leur tenue vestimentaire. Il y a de tout se dit-il. Il se dirige ensuite vers le fond du couloir pour entrer dans la deuxième chambre. Il ouvre la porte, et surprise, un couple est devant lui, nu en train de s’embrasser goulûment. Le garçon est un peu décalé, ce qui permet de voir sa verge bien droite frotter sur le bas-ventre de la fille. Leurs langues entrent profondément dans les bouches si bien que les lèvres semblent comprimées les unes aux autres. Le couple ne bouge pas, il n’a sans doute pas entendu Fabien entrer dans la pièce. Fabien dépose son blouson puis retourne dans le salon. Il bande ! Il jette un regard circulaire dans la pièce : beaucoup de garçons et trois filles, tous entre 14 et 19 ans. Ils parlent ensemble par petits groupes de cinq ou six personnes, certains se balancent d’une jambe sur l’autre, d’autres sont campés sur leurs jambes bien écartées, d’autres encore se gratouillent la braguette en discutant. L’examen de Fabien s’arrête au moment où Franck apparait dans l’entrebâillement de la porte et annonce que maintenant que tous les invités sont présents, la soirée va commencer. Plus personne dit-il, plus personne ne sortira puceau ou pucelle de cette soirée et pour s’en assurer tout le monde passera à la casserole. Les filles le feront deux fois : une fois par devant, une fois par derrière. A ce moment, Franck jette sur la table le contenu d’une grande boîte ronde en carton : des préservatifs et du gel. « Il y en aura autant qu’on en aura besoin » complète-t-il.
Chacun se regarde un peu surpris mais pas de trop non plus quand on connaît Franck. « Je vais commencer, rajoute Franck». Il se lève et debout devant tout le monde ôte son pantalon de jogging. Il est là, droit, fier, tout nu, exhibant un sexe à demi dressé, puis se penchant en avant, il écarte ses fesses avec ses deux mains et présente à tous un anus déjà ouvert. A ce moment, il annonce : « à toi de jouer, Fabien, prends-moi ». Fabien n’était pas prévenu, il est pris de court mais se dit que de toute façon il faudra y passer, alors autant y aller de suite. Alors, Fabien se lève, se déshabille complètement et se présente entièrement nu devant l’assemblée. Cela ne lui était jamais arrivé et il est surpris de constater que cette situation le fait bander. Puis, en prenant son temps, il se baisse, prend une capote, l’enfile, saisit un sachet de gel, s’en enduit la bite et met le reste dans le cul de Franck. Devant tout le monde, il s’approche de Franck, la queue à la main, positionne le gland sur l’anus, lève les bras et d’un mouvement de bassin fait entrer le gland. Franck pousse un petit cri de plaisir, Fabien enfonce plus profondément et une fois que l’étui et bien huilé commence ses va et vient en accélérant régulièrement la cadence. La joie de Franck est visible, il fait seul le mouvement de pénétration et choisit ainsi le rythme qui lui convient le mieux. Fabien comprend que Franck est à deux doigts de jouir, alors, il le relève lentement puis accélère les mouvements. Franck est ainsi presque debout en train de se branler devant tout le monde pendant qu’il se fait limer. La situation ne dure pas, dans un profond grognement il éjacule de longs jets de sperme et Fabien lui dit : bon anniversaire. Ce n’est pas ce que Franck avait prévu, il voulait faire jouir Fabien. « Je t’aurai » lui dit-il. Pour l’instant, il demande à Fabien de se retourner pour l’embrocher à son tour. Fabien s’exécute et lui présente son cul. Franck le pénètre sans ménagement mais n’a pas l’endurance de son copain et joui rapidement dans le préservatif. « A votre tour »dit-il en précisant que Fabien et lui seront les contrôleurs. Ils vont même occuper une fonction non prévue : ils vont remplacer les éjaculateurs rapides ou ceux qui bandent mou. Le salon devient un vrai lupanar et ça tire de tous les côtés. Chaque partenaire est à la fois actif et passif. Les filles viennent chercher Franck ou Fabien quand leur partenaire n’a pas la force suffisante pour les baiser devant et derrière. Cependant, d’autres garçons s’avèrent de véritables hardeurs et aident parfois Franck ou Fabien dans leur rôle. Au bout de trois quarts d’heure, il n’y a plus de vierge dans l’assemblée et Franck apporte les boissons et les petits fours. « Nous allons jouer aux deux roues » annonce t’il. «Quel est ce jeu ? s’interroge chaque participant avec toutefois une certaine inquiétude. Franck explique le rôle de chaque roue crantée : la première indique le numéro des joueurs et la deuxième précise l’épreuve à exécuter. Un exemple, le trois joue avec le douze et tous deux doivent se rouler un palot les mains derrière le dos. A ce jeu, Fabien est avec un mec de dix-neuf ans qui doit lui tailler une pipe avec un doigt dans le cul. Le partenaire de Fabien est un beau garçon et après la fellation, ils s’enculent à tour de rôle. Le temps passe vite et ce jeu les mènera en plein milieu de la nuit. Le calme revient dans la pièce jusqu’à ce que la sonnette de la porte d’entrée se fasse brusquement entendre. Franck enfile son jogging et va ouvrir. Un bruit de voix interpelle l’assemblée et un garçon de près de trente ans entre dans la pièce. « Alors les gamins, on joue à touche pipi ? » dit-il. Il informe aussi être le grand frère de Franck qui dément en précisant qu’il est le fils du mari de sa mère et heureusement pas son frère. Il ne veut pas d’un tel frère qui avait notamment promis de ne pas le déranger pendant sa partie. Boris, puisque c’est son nom, annonce qu’il faut passer maintenant aux choses sérieuses. Debout il se déshabille et expose un corps d’homme, poilu sur la poitrine, le bas-ventre et les fesses. Il dévoile également un sexe de forte taille, au moins dix-sept centimètre de long et surtout très épais. Un gros sexe qui pend entre ses jambes. Les autres garçons le regardent impressionnés. Ils ne sont pas au bout de leurs surprises lorsque Boris se retourne, se baisse et montre son trou. Un trou énorme grand ouvert où quatre doigts peuvent entrer à sec. Boris se relève, regarde les mecs de l’assemblée qui bandent et choisit les deux qui présentent une queue de belles dimension. Fabien et Franck ne font pas partie des élus. Boris installe les deux garçons sur le dos, couilles contre couilles et les deux queues accolées. Il saisit dans la poche de son pantalon une capote spéciale grande dimension et en recouvre les deux bites. Il étale un peu de gel, se positionne au milieu des deux garçons, descend lentement, positionne bien les verges et les fait pénétrer sans effort dans son cul. Il gère les va et vient et provoque en peu de temps deux éjaculations. Il se lève alors et demande s’il y a des volontaires pour recommencer. Fabien est surpris de constater que la queue de Boris demeure plutôt molle. Normal lui répond Franck en précisant que Boris jouit plus du cul que de la queue. Boris renouvelle sept fois son exploit et c’est à ce moment qu’il jouit à son tour, surprenant son auditoire en jouissant sans bander. Il a perturbé et surtout fatigué les invités de Franck qui se sont presque tous endormis. Au petit matin Fabien se réveille grâce à une douceur sur sa queue. Quelqu’un est en train de le sucer avec certainement le bout de la langue. C’est agréable mais pas professionnel pense-t-il. Il ouvre les yeux et découvre une des filles coincées entre ses jambes qui a l’air de prendre son pied. Il trouve que les filles sucent moins bien que les mecs. Néanmoins, il sourit à sa suceuse, la fait glisser pour l’embrasser et lui donner envie de se faire baiser. Elle se laisse faire et met elle-même la capote. Fabien en dessous d’elle, réalise des ondulations puis se redresse et place la fille sous elle, effectue de nombreux va et vient avant de sortir sa queue et de la planter dans son autre trou. La fille pousse des petits cris qui deviennent de plus en plus forts et commencent à réveiller les invités. Elle resserre son anus et provoque sur Fabien une forte jouissance qui lui fait pousser un énorme grognement entendu de tous. Tous deux, enlacés, s’endorment avec le plaisir gravé sur leur visage.
Quand Fabien se réveille, il est déjà huit heures et il s’empresse de gagner la salle de bain avant de reprendre son blouson dans la chambre du fond, toujours occupée par un couple entièrement nu endormis sur le dos. Fabien sourit, franchit la porte, s’approche de Franck pour lui dire : Merci et à demain. Il sort de l’appartement et respire profondément cet air qui lui fait du bien.
18-
La rue est bien calme ce dimanche matin, Fabien marche tranquillement en regardant autour de lui. Au moment où il s’approche du « Grand Hôtel », il voit un homme en sortir. Un homme d’environ quarante-cinq ans. Il le trouve élégant dans son costume cravate et en s’approchant il est frappé par son regard clair. Un regard intelligent pense-t-il. L’homme le croise, son allure est distinguée. Fabien s’arrête, se retourne et le regarde de dos. L’homme s’arrête aussi, regarde Fabien puis fait demi-tour. Il s’en approche, il est à sa hauteur, il se place à la droite de Fabien, pose sa main sur son omoplate gauche et délicatement le dirige vers le « Grand Hôtel ». Ils sont dans le hall, et entrent dans l’ascenseur. L’homme appuie sur le bouton du cinquième étage puis ouvre la porte de la chambre cinq-cent-trente-huit et fait entrer Fabien. Fabien découvre une grande chambre contigüe à un petit salon. L’homme enlève sa veste, dénoue sa cravate, s’approche de Fabien et délicatement pose ses lèvres sur les siennes. Il serre Fabien contre lui et sent sur sa braguette la verge tendue de son futur partenaire.
L’homme caresse, embrasse, ses mains sont partout, ses lèvres hypnotisent. Ces préliminaires durent environ un quart d’heure et quand Fabien en prend conscience, il est nu devant cet homme qui a su le déshabiller sans qu’il ne s’en rende compte. L’homme l’allonge sur le lit, Fabien ferme les yeux, il ne sait plus où il est. Entre les mains, les doigts, la bouche, il frissonne de partout. Et pendant ce temps, l’homme se déshabille, il est aussi nu que Fabien. L’homme retourne Fabien qui se laisse faire tellement il se sent bien. Il sent maintenant la langue de l’homme dans son anus, le plaisir monte, l’homme écarte ses fesses, il sent les lèvres et la langue qui s’enfonce encore plus profondément. Cette langue qui glisse lentement vers le périnée et descend sur les couilles. Fabien n’en peut plus. L’homme le sait. Il glisse la main sous la poitrine de Fabien et le redresse puis enfonce deux doigts encore plus profondément dans l’anus. Fabien se raidit, il est à genoux, sexe tendu et d’un seul coup il émet un râle. Huit jets de sperme sont projetés sur le lit de l’homme qui maintenant le masturbe et lui fait mettre la tête sur les draps. Les fesses écartées, Fabien est devenu la cible idéale, l’homme avance sa bite tendue et le pénètre. Le cri de Fabien indique le plaisir. L’homme ramone le cul qui ne demande que cela et modifie régulièrement son rythme. D’un coup, un seul il pousse encore plus son sexe au fond de Fabien qui jouit de nouveau et entraine l’homme dans son sillage. L’homme et le garçon se regardent, s’embrassent. Ils sont sonnés mais heureux.
Passés sous la douche, ils se rhabillent, descendent dans le hall de l’hôtel et partent chacun dans leur direction. Cet intermède est terminé.
-19-
C’est en voulant prendre la clef de l’immeuble dans sa poche que Fabien a trouvé ce bout de papier qu’il sort négligemment. Il le regarde, le remet dans sa poche et le sort de nouveau. C’est bien cela, il n’a pas rêvé c’est un billet, un billet de cent euros. C’est l’homme qui le lui a mis, il en est certain. Mais pourquoi. Tout d’abord il est content : il sait donner du plaisir. Ensuite il est vexé : il ne veut pas être pris pour une pute. Enfin il pense que c’est peut-être un message : il faut qu’il développe ce qu’il sait faire.
Fabien entre chez lui, il est fatigué. Son week-end est bien chargé et sa tête bouillonne. Il faut qu’il réfléchisse. Tout va si vite. Il sent qu’il ne maîtrise plus sa vie, il doit se poser et prendre le temps de tracer sa route.
Il a découvert également que ses activités sexuelles développent ses capacités intellectuelles. Le sexe et le cerveau seraient-ils liés ?
Travail, Plaisir, Argent, voilà ce qu’il doit mettre maintenant en cohérence s’il veut réussir sa vie. Il a plein d’atouts et il le sait. A lui de saisir sa chance et de construire son bonheur.
Fabien y réussira-t-i ? Il a compris plein de choses avant tout le monde, il est intelligent et seul l’avenir maintenant nous le dira.