Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués

Oublié l'initiateur, Max le prof de gym ! Après s'être trouvé des partenaires prodigieux, Marc et Patrick,  avoir subi les assauts des joueurs de l'équipe de hand, Damien douhaite baiser en duo avec David l'un des membres du gang bang. 

 

 

 

Jusqu'à ce jeudi j'évitai Max, Marc et Patrick et j'avoue que cela me coûta car j'avais très 
envie de baiser, c'est seulement que je ne voulais pas me présenter devant David avec le 
cul ouvert.
Il est vrai que vu les dimensions de son sexe il aurait peut-être mieux valu mais je voulais 
arriver à lui telle une vierge à son promis.
Enfin le jour arriva, avant de partir je pris une très longue douche où je rendis à mon corps 
une propreté toute suédoise puis je partis rejoindre mon amant.
Il m'attendait chez lui en regardant un film porno, il me fit entrer dans le salon et me 
demanda "Veux-tu boire quelque chose ?
- Oui un jus d'orange".
David me servit et me dit "Tu es bien libre toute la nuit ?
- Oui pourquoi chéri ?
- Pour rien pour savoir ma chérie".
Voyant que j'avais l'œil attiré par ce qui passait sur le poste de télévision David me dit "ça te 
plaît ?
- Je regarde comment fait cette fille.
- Et qu'est ce que tu en penses.
- je n'en pense rien, je regarde s'il y a des choses que je peux apprendre.
- Toujours aussi cochonne.
- Si on veut bien baiser il faut en savoir le plus.
- Dis-toi bien que ce que tu sais est déjà super.
- Oui mais il y a des choses que je ne pourrais jamais faire.
- Pourquoi ?
- Simplement parce que je n'ai pas de chatte.
- Ne t'inquiète pas ton cul est aussi bon qu'une chatte.
- Peut-être mais si j'avais une chatte on pourrait me baiser par les deux trous.
- salope.
- Eh oui.
- Bon puisqu'on parle de baiser, si on s'y mettait ?
- Avec joie.
- Où préfères-tu baiser, ici ou dans la chambre ?
- C'est comme toi tu veux.
- Etant qu'on va faire ça toute la nuit il vaudrait mieux aller dans la chambre.
- D'accord.
- Allons-y".
Nous entrâmes dans la pièce, elle était vaste, un grand lit avec seulement un matelas et un 
drap était au milieu et tous les murs étaient habillés de miroirs, je demandai à David "Tu 
dors ici d'habitude ?
- Non ici c'est la chambre de baise, ma chambre de sommeil est à côté. Pourquoi ?
- Je me disais que si tous ces miroirs c'est bien pour la baise, ça ne doit pas être très 
reposant pour le repos.
- Tu as raison mais crois-moi pour la baise c'est génial, c'est super excitant.
- Je veux bien te croire".
A peine étions-nous arrivés près du grand lit que David me prit dans ses bras, il posa ses 
lèvres sur les miennes, j'ouvris la boche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se 
nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon amant s'écarta de moi, j'avais le souffle court et le rouge aux joues, mon 
homme prit mon tee-shirt et le fit passer par-dessus mes bras et me dit "fais la même 
chose".
J'obéis et le torse musclé et poilu de mon mec apparut, j'enfouis mon visage dans ses 
poils et lui embrassai la poitrine.
David me laissa faire quelques instants puis il posa ses mains sur mon fessier et me 
massa légèrement les lobes charnus à travers l'étoffe de mon pantalon.
Je ne pus réfréner un petit frémissement et me collai contre mon amant.
Je sentais contre ma cuisse la virilité dure de mon homme et cela m'excita.
Mon mec me repoussa doucement et me dit "Laisse-moi te déshabiller complètement".
Mon amant ouvrit ma braguette, déboutonna mon pantalon et le fit tomber à terre, il me fit 
asseoir et ôta mes chaussures et chaussettes.
Il me fit me relever, me tourna dos vers lui et fit glisser mon string le long de mes cuisses 
fuselées.
Quand je fus totalement nu David porta une légère caresse sur ma croupe rebondie et me 
dit "Tu sais que tu es très belle.
- Merci.
- L'autre jour je ne t'ai pas vu comme ça, tu es magnifique, tu as un cul superbe, on voit que 
tu es faite pour la baise.
- Merci.
- Maintenant déshabille-moi.
- Avec plaisir".
Je m'agenouillai devant mon amant et après avoir ôté le bouton de son pantalon, je pris le 
zip de sa fermeture éclair entre mes dents et le fis descendre.
Je déchaussais mon homme et enlevai son pantalon, je me trouvai devant un slip tendu et 
avec une tâche humide annonciatrice.
Je projetai mon souffle chaud contre le tissu tendu et je vis le sexe remuer, je pris le slip 
par l'élastique de la taille et le fis descendre le long des cuisses musclées de mon amant.
Aussitôt libéré de sa prison de textile le membre victorieux pointa vers le plafond, il était 
encore plus beau que dans mes souvenirs et je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri 
tout en me léchant les lèvres.
David me releva en me prenant par les épaule et me demanda "Que se passe-t-il pourquoi 
as tu crié.
- Ce n'était qu'un cri d'envie, ta bite est encore plus belle que dans mon souvenir.
- Elle te plaît ?
- Oh oui, elle est superbe, grosse et longue.
- Elle ne fait que 28 centimètres de long et 6 de diamètre.
- Pas le gland ?
- Non lui est un peu plus gros.
- Oh oui il est plus gros mais même les dimensions que tu annonces c'est loin d'être 
petites.
- Mais tu l'as bien prise dans ton cul.
- Oh oui mais avoue que tu as un drôle de calibre.
- Oui mais je crois que tu aimes.
- C'est vrai.
- Bien assez parlé maintenant place à la baise".
Passant son bras autour de mes épaule David m'amena au bord du lit, il m'enlaça et 
écrasa ma bouche, nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.
Délicatement mon amant m'allongea sur le dos et commença à exciter mes tétons qui 
aussitôt devinrent durs et s'érigèrent, je fermai les yeux et me laissai emporter dans un 
tourbillon de désir.
Après avoir suffisamment les pointes de mes seins David me retourna sur le ventre, il posa 
ses mains sur mes épaules et commença à me masser doucement.
Cette légère caresse continua à me faire perdre pied, je sentais mon corps brûler, ma 
peau était devenu si sensible que le moindre effleurement me faisait frémir.
Au bout de quelques instants la langue de mon homme se posa sur ma nuque et 
descendit lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon de 
mes fesses.
Cette cajolerie délicieuse me fit gémir, je sentis ma croupe s'embraser et j'écartai les 
cuisses.
Longtemps David pratiqua sur moi ce doux tourment me faisant monter au septième ciel.
Délaissant mon dos mon amant empauma mes fesses brûlantes et commença à les 
presser l'une contre l'autre, aussitôt le désir monta d'un cran en moi et je poussai un râle 
langoureux, mon homme me dit "Tu aimes ce que je te fais.
- Oh oui tu me mets en feu, c'est bon".
Au bout de quelques minutes de ce traitement je me pâmais tout en ondulant sur la 
couche, mon mec écarta mes miches bouillonnantes et sa langue pointue vint darder mon 
anus affamé, ce contact m'électrisa et je gémis.
A part lors de ma première expérience avec Max, c'était la première fois qu'un homme me 
suçait le cul, les autres Max y compris n'avait fait que me baiser en me préparant 
sommairement.
David avait enfoui son visage entre mes fesses et sa langue me léchait l'œillet, cet 
attouchement lingué me faisait basculer dans un désir intense et je sentais mon anneau 
s'ouvrir chaque fois que mon amant passait dessus.
Peu à peu mon tunnel s'épanouit et le bout de la langue de mon homme pu me pénétrer.
Sentir cette langue s'insinuer en moi me procurait un bien-être immense et je râlai de 
bonheur.
Pendant quelques minutes David continua son baiser lingué avec mon intimité, quand il 
m'abandonna j'avais la raie pleine de salive, je poussai un soupir de frustration et 
demandai "Pourquoi arrêtes-tu?".
Sans tenir compte de mon intervention mon amant m'enfonça lentement un doigt dans le 
cul, cette lente introduction me fit frissonner et je tendis mon postérieur.
Après voir fait tourner son doigt en moi mon mec m'en mit un autre et commença à élargir 
ma porte étroite, ce que je ressentais était divin, j'étais tellement excité que je gémissais 
sans discontinuer.
Un troisième puis un quatrième vinrent rejoindre les premiers, au bout de quelques 
instants je flottais dans la félicité.
Je ne sais pas combien de temps mon homme appliqua sur moi ses doux sévices mais je 
me tordais sur le matelas ruant pour venir à la rencontre des doigts qui me travaillaient le 
cul.
David me mit sur le dos et tout en continuant à me fouiller le fondement il se mit à 
califourchon sur moi et me présenta son phallus érigé en me disant "Vas-y ma salope, 
suce moi un peu"
J'embouchai l'objet de ma dévotion en entamai une lente fellation.
Au bout de quelques minutes David retira son sexe de ma bouche et me dit "Merci ma 
poule ta bouche est douce comme du miel, mais il faut passer aux choses sérieuses, il 
faut que je m'occupe de ton petit cul.
- Je veux ta bite mais je t'en supplie fais doucement.
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Elle est très grosse, j'ai peur qu'au début elle me fasse mal.
- ne t'inquiète pas, je vais faire tout doucement, je ne veux pas casser ce qui va me donner 
beaucoup de plaisir.
- Merci.
- Mais non je ne veux pas me gâcher le plaisir".
David se leva et enleva ses doigts et me dit "Allez écarte bien tes cuisses pour que je 
puisse t'enfiler.
- Doucement.
- Mais oui n'ai pas peur".
Je levai mes jambes en les écartant puis prenant mes fesses entre mes mains je les 
éloignai l'une de l'autre pour offrir mon œillet, David sourit et dit "Oui comme ça, bien ma 
petite salope,
ton petit trou est bien ouvert, prêt à être défoncé".
Mon amant s'allongea dans le V de mes cuisses, il guida son fabuleux pénis dans ma raie 
moite et le positionna contre l'entrée de mon tunnel.
Les gouttes de sperme translucide perlant du méat de mon homme me lubrifièrent l'entrée 
du canal.
J'avoue que bien que mon mec m'ait ouvert l'anus j'étais effrayé par la taille de ce que 
j'avais entre les fesses, bien que je sois excité j'avais une peur bleue.
Mon homme s'en aperçut en me dit "Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire mal et toute 
ma queue va rentrer dans ton cul, elle va bien te baiser et te donner beaucoup de plaisir, 
décontracte-toi ma salope et tu verras que ton petit trou acceptera ma grosse pine".
Tout en me parlant David me caressait la pastille de la pointe de son énorme gland 
turgescent, cet attouchement me faisait monter d'un cran dans le bien-être et je me 
cambrai pour me donner totalement, mon amant me dit "Tu vois que tu n'as pas mal.
- Oui mais tu n'es pas encore entré.
- Non c'est vrai mais tu vas voir je vais rentrer sans te faire mal.
- Je l'espère.
- Mais oui fais moi confiance.
- Je te fais confiance chéri.
- C'est bien ma poulette".
C'est là que je m'aperçus de la ruse, pendant qu'il me parlait David avait commencé à 
pousser et la tête de son bout durci avait peu à peu écarté mes chairs frémissantes.
Je dis à David "Mais tu es en train de m'enculer.
- Oui enfin je crois que c'est bien le but ou je me trompe.
- Non tu ne trompes pas, j'ai très envie de sentir ta grosse bite me défoncer le cul.
- Alors de quoi te plains-tu.
- De rien je ne me suis aperçu de rien mais je sens que le bout de ton gland est en train 
de me pénétrer.
- Eh oui mais par contre même si je fais tout doucement maintenant tu vas avoir un peu 
mal, car il faut bien que le reste de mon gros gland passe.
- Je le sais mais j'en meurs d'envie, alors vas-y je suis prête.
- Bien ma petite salope, allez serre les dents tu vas dérouiller un peu mais après tu vas 
jouir.
- Je le sais allez viens, enfonce toi en moi, prends ta femelle elle est tout à toi.
- Oh oui ma pute je vais te prendre"
Je me décontractai au maximum. Et attendis quelque peu inquiet, mon amant commença à 
peser sur mon orifice et quand le gland entreprit de s'introduire je poussai un cri de 
douleur.
Mon mec s'immobilisa et me dit "Tu as trop mal, je vais me retirer.
- Non je veux ta bite dans mon cul, oui j'ai mal mais je sais qu'elle peut entrer et me baiser, 
d'ailleurs tu m'as déjà baisé.
- Oui mais on t'avait ouvert le cul avant moi
- Ce n'est pas le problème si mon cul t'a accepté l'autre jour, il t'acceptera aussi 
aujourd'hui même si je dois me l'ouvrir avec un couteau.
- Hey on se calme.
- Alors arrête de dire que tu vas te retirer, plante moi ta bite au fond du cul.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais, enfile-moi même si tu dois me faire hurler comme une grosse truie, 
la seule chose que je te demande c'est de rester sans bouger après m'avoir défoncé.
- D'accord, je vais te percer le cul.
- Oui vas-y transperce moi le fion, fais-moi mal, allez baise ta pute".
J'attendis le plus décontracté possible, je sentis le bout durci de David peser moins sur 
mon antre puis d'un coup de reins mon homme me déflora.
La souffrance que je ressentis fut inhumaine, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en 
deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le fondement, j'eus pendant quelques 
secondes les souffle coupé puis un hurlement strident s'échappa de ma gorge, de 
grosses larmes jaillirent de mes yeux et je me mis à sangloter.
David suspendit sa poussée et me dit tout en m'embrassant les joues humides "Excuse-
moi, je t'ai fait mal.
- Ce n'est rien, je commence déjà à avoir moins mal, tu n'y peux rien ce n'est pas de ta 
faute si mon trou du cul est trop petit.
- Il n'est pas trop petit, c'est moi qui n'ai pas su t'ouvrir comme il le faut.
- Mais non tu as fait ce qu'il fallait et en plus je voulais te recevoir comme ça, je ne voulais 
pas que tu rentres en moi sans aucune résistance, je suis sur que tu préfère me prendre 
comme ça plutôt que comme l'autre jour où j'avais le cul complètement éclaté.
- C'est vrai mais...
- Il n'y a pas de mais, je voulais te donner mon cul serré pour que ce soit toi et personne 
d'autre qui le casse et c'est comme ça que ça s'est passé.
- C'est vrai que j'ai aimé sentir de la résistance.
- Je m'en doute, allez je n'ai presque plus mal, vas-y enfonce toi complètement que je 
sente ta grosse bite au fond de mon cul.
- D'accord.
- Et après baise-moi bien fais moi prendre un super pied
- D'accord ma salope, tu vas jouir je te le promets".
Avec une lenteur calculée David s'enfonça en moi jusqu'à la garde, quand je sentis ses 
testicules poilus contre mes fesses bouillantes je sus qu'il était entré totalement en moi.
Mon amant resta immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui 
m'obstruait le fondement, je souris à mon homme et lui tendis les lèvres, il posa 
délicatement ses lèvres sur les miennes, j'ouvris tout grand la bouche, nos dents s'entre 
choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand mon mec abandonna ma bouche j'avais le souffle court et la douleur avait presque 
disparue, je dis à mon amant "C'est fou comme tu me remplis, quelle bite tu as je me sens 
plein de toi et c'est bon, j'adore ça, tu me rends folle de bonheur. Bon tu vas arrêter de me 
traiter comme si j'étais en sucre et tu vas me baiser comme je le mérite c'est à dire comme 
la grosse salope que je suis doit l'être.
- Oh oui je vais te baiser ma pute, crois-moi tu vas gueuler salope.
- Vas-y je t'en supplie je suis en feu, baise ta pute, encule ta salope, défonce la".
David démarra ses lents mouvement de va et viens m'arrachant à chaque passage des 
cris de douleur.
En tournant la tête je voyais dans le miroir l'énorme pieu de chair de mon amant disparaître 
entre mes fesses et cela intensifia mon désir déjà très fort.
Mon homme sortait son colossal phallus de moi pour m'assouplir la pastille.
Pendant plusieurs minutes la souffrance l'emporta sur le reste puis peu à peu mon anus 
mollit et une douce langueur s'empara de moi.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son fabuleux Priape le sortant presque 
entièrement de mon antre pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Sous ces lentes allées et venues mon sphincter céda complètement et le gigantesque 
membre pu coulisser en moi sans gêne aucune.
Mon mec avait glissé ses mains sous mon dos et me tenait aux épaules, je nouai mes 
jambes dans son dos et l'enlaçai de mes bras.
Tout en me sodomisant lentement David m'embrassait le visage déposant de temps en 
temps un baiser furtif au coin de mes lèvres.
En regardant au plafond je voyais le bassin de mon amant monter et descendre sur moi, 
cette vision me mettait dans tous mes états.
Sentir la formidable queue raide remuer en moi me faisait perdre un peu plus pied chaque 
fois qu'elle me clouait au lit.
J'étais complètement en chaleur, mon postérieur était bouillant et je sentais de la sueur 
couler entre mes cuisses ouverts humidifiant la raie de mon cul en feu.
David me possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que le fabuleux sexe 
se fichait en moi je poussai un profond râle de bonheur.
Je planais littéralement sous les coups de bite que je recevais, je me cambrais au 
maximum pour m'offrir pus encore à la hampe turgescente qui me creusait un peu plus les 
reins à chaque passage.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourai la volupté qui montait en moi par 
vagues successives prenant naissance dans mon bas-ventre pour venir exploser en mille 
étoiles de couleur sur mon visage.
Je ne savais plus depuis combien de temps David me baisait, le bien être que je 
ressentais était tel que j'avais l'impression d'être au septième ciel.
Mes râles se muèrent en cris de félicité et je me mis à rouler des hanches en cadence 
venant à la rencontre de la merveilleuse pine qui me bourrait.
Sous les coups de boutoir répétés de mon amant je me sentis partir et je commençai à 
presser son phallus avec mon sphincter.
Mon homme avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me tringlait en de virils coups 
de reins.
J'avais atteint la plénitude rectale et je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mon 
plaisir tout en serrant mon mec dans l'étau de mes cuises.
David me pilonnait l'arrière train vigoureusement, j'avais l'anus complètement éclaté et je 
me tordais sur la couche comme un pantin désarticulé.
Je sentais le plaisir envahir totalement mon être chaque fois que la verge roide s'enfonçait 
au tréfonds de mon rectum embrasé.
Sous les assauts redoublés de l'énorme pénis qui me forait m'ouvrant un peu plus la 
pastille à chaque poussée, je sombrai totalement et je me mis à délirer braillant toutes les 
phases par lesquelles je passai.
Soudain un spasme fulgurant me transperça, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai mes 
ongles dans la chair des épaules de David, mon corps se tendit comme un arc, un 
hurlement aigu jaillit de ma gorge et je retombai lourdement sur la couche perdant 
connaissance.

suite dans la partie 5b le texte intégral étant trop long pour un seul article.

 

 

Ven 8 fév 2013 Aucun commentaire